Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
La dure épreuve va finir : Mon coeur, souris à l’avenir. Ils sont passés les jours d’alarme… Où j’étais triste jusqu’aux larmes… Ne suppute plus les instants,
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…
Bon pauvre, ton vêtement est léger Comme une brume, Oui, mais aussi ton cœur, il est l… Comme une plume, Ton libre cœur qui n’a qu’à plaire…
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
La cour se fleurit de souci Co… De… Qu… En flageolant sur leur fémur
La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la ramée...
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
Nous sommes bien faits l’un pour l… Pourtant quand tu me rencontreras Menant mes derniers embarras D’homme grave et de bon apôtre, Ruine encore de chrétien,
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…
Jésus au ciel est monté Pour vous envoyer sa grâce Espérance et charité, Foi qui jamais ne se lasse, Patience et tous les dons
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode