Romances sans paroles (1874)
#ÉcrivainsFrançais
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Cette vallée est triste et grise :… Pèse sur elle ; L’horizon est ridé comme un front… Oiseau, gazelle, Prêtez-moi votre vol ; éclair, emp…
Sa tête fine dans sa main toute pe… Elle écoute le chant des cascades… Et, dans la plainte langoureuse de… Perçoit comme un écho béni du nom… Elle a fermé ses yeux divins de cl…
Elle voulut aller sur les bords de… Et comme un vent bénin soufflait u… Nous nous prêtâmes tous à sa belle… Et nous voilà marchant par le chem… Le soleil luisait haut dans le cie…
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
Car tu vis en toutes les femmes Et toutes les femmes c’est toi. Et tout l’amour qui soit, c’est mo… Brûlant pour toi de mille flammes. Ton sourire tendre ou moqueur,
Il faut, voyez-vous, nous pardonne… De cette façon nous serons bien he… Et si notre vie a des instants mor… Du moins nous serons, n’est-ce pas… Ô que nous mêlions, âmes soeurs qu…
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
La Gueule parle : « L’or, et puis… Toujours l’or, et la viande, et le… Et l’or pour les vins fins et la v… Un trou sans fond pour l’or toujou… La Panse dit : « À moi la chute d…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Mon cher enfant, que, mon Dieu, t… Moi-même pauvre ainsi que toi, pur… Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Et beau comme notre âme pure et tr…
Amour qui ruisselais de flammes et… Qu’est devenu ce temps, et comme e… La constance sacrée au chrême des… Elle ressemble une putain dont les… Empliraient cent bidets de futurs…
L’été ne fut pas adorable Après cet hiver infernal, Et quel printemps défavorable ! Et l’automne commence mal, Bah ! nous nous réchauffâmes