"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Les nuages volaient dans la lueur… Noir troupeau que le vent lugubre… Et dans la profondeur blême au-des… Si bas que tout mon être en haleta… J’aperçus un sommet par une déchir…
C’est une chose grande et que tout… D’avoir un lustre en soi qu’on rép… D’être choisi d’un peuple à venger… De ne point faire un pas qui n’ait… Ou de chanter les yeux au ciel, et…
Oh ! quand je dors, viens auprès d… Comme à Pétrarque apparaissait La… Et qu’en passant ton haleine me to… Soudain ma bouche S’entrouvrira !
Dans le parc froid et superbe, Rien de vivant ne venait ; On comptait les brins d’une herbe Comme les mots d’un sonnet. Plus de danse, plus de ronce ;
À force d’insulter les vaillants e… À force de flatter les trahisons a… À force d’être abject et d’ajuster… De sophismes hideux aux plus noirs… Cet homme espère atteindre aux gra…
Ces âmes que tu rappelles, Mon coeur, ne reviennent pas. Pourquoi donc s’obstinent-elles, Hélas ! à rester là-bas ? Dans les sphères éclatantes,
… La postérité de Joseph rentre dan… Et cette conquête, due aux larmes… Ne coûte pas une larme aux vaincus… Chateaubriand, Martyrs.…
Oui. Je comprends qu’on aille aux… Qu’on soit foule, qu’on brille aux… Qu’on fasse, amis, ce que vous fai… Et qu’on trouve cela joyeux ; Mais vivre seul sous les étoiles,
La foule des vivants rit et suit s… Tantôt pour son plaisir, tantôt po… Mais par les morts muets, par les… Moi, rêveur, je me sens regardé fi… Ils savent que je suis l’homme des…
J’étais seul près des flots, par u… Pas un nuage aux cieux, sur les me… Mes yeux plongeaient plus loin que… Et les bois, et les monts, et tout… Semblaient interroger dans un conf…
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
Tout ce temps-là m’importune. Des fadeurs, ou des venins. La grandeur de leur fortune Rapetisse encor ces nains. On a le faux sur la nuque ;
Dans un grand jardin en cinq actes… Conforme aux préceptes du goût, Où les branches étaient exactes, Où les fleurs se tenaient debout, Quelques clématites sauvages
Si j’étais la feuille que roule L’aile tournoyante du vent, Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, Et qu’on suit de l’oeil en rêvant… Je me livrerais, fraîche encore,
Je ne vois pas pourquoi je ferais… Que de rêver sous l’arbre où le ra… Les chars passent, j’entends grinc… Quand les filles s’en vont laver à… Elles prêtent l’oreille à ma chans…