"Les contemplations (1856)" Mars 1842.
#ÉcrivainsFrançais
Le soleil s’est couché ce soir dan… Demain viendra l’orage, et le soir… Puis l’aube, et ses clartés de vap… Puis les nuits, puis les jours, pa… Tous ces jours passeront ; ils pas…
Le lion dort, seul sous sa voûte. Il dort de ce puissant sommeil De la sieste, auquel s’ajoute, Comme un poids sombre, le soleil. Les déserts, qui de loin écoutent,
La clarté du dehors ne distrait pa… La plaine chante et rit comme une… Le nid palpite dans les houx ; Partout la gaîté lui dans les bouc… Mai, couché dans la mousse au fond…
VII. Une nuit,—c’est toujours la nuit d… Il s’éveilla. Luisant comme un hi… D’étranges visions emplissaient sa… Des rires éclataient sous son plaf…
Ô Georges, tu seras un homme.—Tu… A qui tu dois ton coeur, à qui tu… Ce que ta voix doit dire au peuple… Et je t’écouterai dans ma tombe pr… Songe que je suis là ; songe que j…
Ce Zoïle cagot naquit d’une Javot… Le diable,—ce jour-là Dieu permit… D’un peu de Ravaillac et d’un de… Composa ce gredin béat. Tout jeune, il contemplait, sans g…
L’aube est moins claire, l’air moi… Le soir brumeux ternit les astres… Les longs jours sont passés ; les… Hélas ! voici déjà les arbres qui… Comme le temps s’en va d’un pas pr…
Au printemps, quand les nuits sont… Quand on voit, vagues tourbillons, Voler sur les fronts les chimères Et dans les fleurs les papillons, Pendant la floraison des fèves,
On devient attentif et rêveur, on… A voir passer là-haut quelque grou… Des choeurs éblouissants, des fête… Des archanges menant des pompes tr… Des âmes dans la gloire et dans l’…
L’enfant chantait ; la mère au lit… Agonisait, beau front dans l’ombre… La mort au-dessus d’elle errait da… Et j’écoutais ce râle, et j’entend… L’enfant avait cinq ans, et, près…
Moi qu’un petit enfant rend tout à… J’en ai deux ; Georges et Jeanne… Et l’autre pour lumière, et j’acco… Vu que Georges a deux ans et que… Leurs essais d’exister sont divine…
J’aime le carillon dans tes cités… Ô vieux pays gardien de tes moeurs… Noble Flandre, où le Nord se réch… Au soleil de Castille et s’accoup… Le carillon, c’est l’heure inatten…
L’aube naît, et ta porte est close… Ma belle, pourquoi sommeiller ? À l’heure où s’éveille la rose Ne vas-tu pas te réveiller ? Ô ma charmante,
La lune était sereine et jouait su… La fenêtre enfin libre est ouverte… La sultane regarde, et la mer qui… Là-bas, d’un flot d’argent brode l… De ses doigts en vibrant s’échappe…
PAUVRE femme ! son lait à sa tê… Et, dans ses froids salons, le mon… Parmi les vains propos que chaque… Hier, qu’elle était folle, aujourd… Et, seul au champ des morts, je fo…