"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
(En lui envoyant une pensée.) Au temps où vous m’aimiez (bien sû… Vous m’envoyâtes, fraîche éclose, Une chère petite rose, Frais emblème, message pur.
Deux reîtres saouls, courant les c… La fange d’un fossé profond, une c… Humaine dont la faim torve d’un lo… Venait de disloquer l’ossature à d… La tète, intacte, avait un rictus…
La lune plaquait ses teintes de zi… Par angles obtus. Des bouts de fumée en forme de cin… Sortaient drus et noirs des hauts… Le ciel était gris. La bise pleur…
Vous voilà, vous voilà, pauvres bo… L’espoir qu’il faut, regret des gr… Douceur de cœur avec sévérité d’es… Et celle vigilance, et le calme pr… Et toutes !—Mais encor lentes, bi…
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Ô triste, triste était mon âme À cause, à cause d’une femme. Je ne me suis pas consolé Bien que mon cœur s’en soit allé. Bien que mon cœur, bien que mon âm…
Je suis dur comme un juif et têtu… Littéral, ne faisant le bien qu’av… Quand je le fais, et prêt à tout l… Mon esprit s’ouvre et s’offre, on… Je ne puis plus compter les chutes…
Les violons mêlaient leur rire au… Et le bal tournoyait quand je la v… Avec ses cheveux blonds jouant sur… De son oreille où mon Désir comme… S’élançait et voulait lui parler s…
Seul bijou de ma pauvreté. Ton mince argent, ta perle fausse (En tout quatre francs), ont tenté Quelqu’un dont l’esprit ne se haus… Parmi ces paysans cafards
Or, tu n’es pas vaincu, sinon par… Oppose au siècle un front de coura… Bande ton coeur moins faible au fo… Ne cherche, en fait d’abri, que l’… Ceins, sinon l’innocence, hélas !…
Pour une bonne fois séparons-nous, Très chers messieurs et si belles… Assez comme cela d’épithalames, Et puis là, nos plaisirs furent tr… Nul remords, nul regret vrai, nul…
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes,
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…