Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Le poète est un fou perdu dans l’a… Qui rêve sans repos de combats anc… De fabuleux exploits sans nombre q… Puis chante pour soi-même et la ra… Plus tard, indifférent aux soucis…
Les variations normales De l’esprit autant que du cœur, En somme, témoignent peu mal En dépit de tel qui s’épeure, Parlent par contre, contre tel
Il est un arbre au cimetière Poussant en pleine liberté, Non planté par un deuil dicté, - Qui flotte au long d’une humble pi… Sur cet arbre, été comme hiver,
Va, chanson, à tire-d’aile Au-devant d’elle, et dis-lui Bien que dans mon cœur fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte,
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
Chose italienne où Shakspeare a p… Mais que Ronsard fit superbement… Fine basilique au large diocèse, Saint-Pierre-des-Vers, immense et… Elle, ta marraine, et Lui qui t’a…
Quand tu me racontes les frasques De ta chienne de vie aussi, Mes pleurs tombent gros, lourds, a… Que des fontaines dans des vasques… Et mes longs soupirs condolents
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
Tendre, la jeune femme rousse, Que tant d’innocence émoustille, Dit à la blonde jeune fille Ces mots, tout bas, d’une voix dou… « Sève qui monte et fleur qui pous…
La petite marquise Osine est tout… Elle pourrait aller grossir la rib… Des folles de Watteau sous leur c… Et de soleil, mais comme on dit, e… Parisienne en tout, spirituelle et…
Daignez souffrir qu’à vos genoux,… Mon pauvre cœur vous explique sa f… Je vous adore autant et plus que… Et rien jamais n’éteindra ce beau… Votre regard, profond et rempli d’…
Le Point-du-Jour avec Paris au l… Des chants, des tirs, les femmes q… La Seine claire et la foule qui f… Sur ce poème un vague essai de cha… On danse aussi, car tout est dans…
Parsifal a vaincu les Filles, leu… Babil et la luxure amusante—et sa… Vers la Chair de garçon vierge qu… D’aimer les seins légers et ce gen… Il a vaincu la Femme belle, au cœ…
La neige à travers la brume Tombe et tapisse sans bruit Le chemin creux qui conduit A l’église où l’on allume Pour la messe de minuit.