Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Voici le frais matin, mais tout so… Les arbres sont rêveurs dans l’imm… La nuit trace au fusain des tablea… Couvrira d’un pastel sublime, la c… Les oiseaux ont encore la tête sou…
Les temps sont accomplis. L’aube… À l’horizon lointain, les paisible… Et la terrible nuit qui nous oppre… Doit insensiblement disparaître à… La Science a creusé les plus prof…
Ne pourrai-je saisir un espoir qui… Ni voir luire la foi dans la clart… Dis, ô joyeux soleil dont le rayon… Réponds, toi que je sens dans la l… Je ne sais si je crois en Dieu !…
L’ombre est lumineuse : à travers… Le bon Dieu sourit et le ciel des… Le vent du matin cueille les fleur… La nature parle et l’âme comprend… Tout semble pensif : la terre trav…
La nuit vient d’effacer les formes… Mon cœur, plein de cette ombre où… Soupire, tout chargé de tristesse… D’où vient ce triste espoir, nuits… Sous le ciel constellé le vent du…
Sur l’aire, dont on a brûlé l’herb… Qui poussèrent, tout l’an, entre l… Et dont un parapet décrépi fait le… Dès juillet, sous l’azur torride d… On étale l’amas des gerbes déliées…
A dos d’âne, on gravit la montagne… Un chemin large, plein de rocs et… Entre des buissons verts, sous un… L’ânière en grand chapeau pousse l… Dont le pas routinier vous berce s…
Oui, nous sommes les fiers, nous s… Le siècle nous a faits tristes, va… Condamnant sans pitié la peur et l… Nous plaignons les vivants sans gé… S’il tombe de nos yeux quelques va…
La frégate retourne au port, voile… Et, pour mieux voir la côte aux fa… Je monte dans la hune où me suit u… La vergue tremble ; il court sur c… « J’y suis habitué, dit-il, mais p…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice
Nous qui croyons souffrir, songeon… De ceux qui vivent seuls, sans mêm… Et qui mourront tout seuls ; Regardons les méchants et ceux de… N’a d’autre but que d’être à jamai…
J’ai besoin de silence... oh ! ne… J’écoute au fond de moi le murmure… Et j’entrevois au loin, sous les v… La Provence éclatante et chaude q… Un souffle amer, pesant, me traver…
Si vous croyez que j’ai l’âme asse… Pour porter vos dédains sans me le… Si vous croyez en moi tuer toute p… Et sous la haine froide engloutir… Détrompez-vous ! Sans fin je m’él…
On carguait lentement les lourdes… Qui poussaient le vaisseau sous le… Et l’Occident brisait ses flèches… Sur leurs rondeurs s’offrant comme… Derrière nous l’effroi de l’infini…
On a congé parfois dans ce Paris… Et l’on peut oublier le bruit, bro… L’incessant tourbillon, le travail… C’est quand on est malade et chez… Il faut, bon gré, malgré, songer à…