Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
A midi, la grand’route, éclatante,… Sous l’éclat des rayons que sa bla… Et, miroir aveuglant, force à clor… Tous les jours, sous le feu qui ru… Même à midi, l’on voit cheminer su…
« Monsieur Jean, vous lirez l’alp… J’entends encore ce mot qui faisai… J’avais six ans, j’aimais les beau… Mais suivre ces longs traits qui n… Ce n’était point ma joie et je ne…
La grappe belle et mûre et virgina… Que baisent seulement la rosée et… Garde sur sa peau rose un voile fr… Aux vapeurs d’un miroir qu’on tern… Pour délicatement qu’on le cueille…
Dans les taillis vivants l’insecte… Oh ! la grande herbe verte et le g… Dieu travaille : oubliez ce que le… Les oiseaux tout joyeux jasent dan… L’air est calme ; le ciel resplend…
Vous m’êtes chers, cyprès du Nord… Malgré votre feuillage habité des… Car vous me rappelez d’autres cypr… Mes cyprès odorants dont la forme… Vos frères du Midi, tout l’horizo…
Où va ce plongeur sublime, Intrépide en son travail ? Il va ravir à l’abîme Ses perles et son corail. Où va cet oiseau qui passe
Je sais un bouquet de roseaux Qui dans le golfe, au bord des eau… Est solitaire ; Mélodieux, frais et serré, Pour moi ce petit bois sacré
Février. Le blé monte aux tiédeur… En hiver nos midis sont des matins… Mais parfois méchamment, aux heure… Un souffle d’hiver glace Avril ép… Il sent alors que tout s’est trop…
Si vous croyez que j’ai l’âme asse… Pour porter vos dédains sans me le… Si vous croyez en moi tuer toute p… Et sous la haine froide engloutir… Détrompez-vous ! Sans fin je m’él…
L’un dit que nier Dieu, c’est ne… Cet homme ne sait pas sanctifier l… Et, lâchement, il a du Mal suivi… Car c’est un sentier rude et serré… Du moins, humble pécheur, le timid…
Paris en Juin. L’été débute par l… Et, rouvrant ma croisée à l’aube,… De voir le ciel toujours brouillé… Sous mes yeux assoupis rien de ble… C’est la rue et la fange, au mois…
J’avais de plus d’une fillette Au charmant costume arlésien, Provoqué l’œillade coquette, Cherchant ce que chacun souhaite : Le grand mal qui fait tant de bien…
Cigales, mes sœurs, Qu’importe à nos cœurs La richesse des granges pleines ? Pourvu que nos voix Sonnent par les bois
Il était sans amour ; il souffrait… Il avait travaillé longtemps. C’é… Son front, sombre, penchait, jamai… Ne l’ayant éclairé d’un rayon d’am… Tous, rapides, voyant cet air morn…
Le Gapeau chantait une chanson fo… De joie et d’amours ; Son onde tordait sur l’arène molle Mille et un détours ; Et moi j’allais, triste, avec l’âm…