Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Il était sans amour ; il souffrait… Il avait travaillé longtemps. C’é… Son front, sombre, penchait, jamai… Ne l’ayant éclairé d’un rayon d’am… Tous, rapides, voyant cet air morn…
Lorsque j’étais enfant surtout, j’… Où sur leurs pieux rugueux on étal… De la bastide, afin d’y veiller sa… La claie aux roseaux drus où doit… Les pieux sont reliés de traverses…
Je ne vous connais pas, ô bien-aim… Je n’ai pu contempler la fière et… Où les rayons brûlants et doux du… Font germer sans effort la semence… Je ne vous connais pas ! cependant…
Le Rhône est si profond, si rapid… Que dans la grande Europe il n’a… Emportant des bateaux sans nombre… Il va roulant de l’or et roulant d… Fleuve superbe ! il court, et se j…
« Embarque, les amis ! c’est diman… —La Dame jeanne ici !—Pousse.—Do… —As-tu le pain ?—Bon ça !—Garçon,… Le ciel est comme un champ plein d… N’est-ce pas, paysans qui, le same…
Concert prodigieux des ondes et de… Long retentissement des flots sur… Majesté de la mer débordant de lum… Fourmillement profond d’ombres et… La mer, suprême tombe, est la sour…
Ô précurseur naïf et doux de l’Éva… Poète aimant, vieux maître immorte… J’étais encore enfant quand sous l… J’ai respiré la brume et les broui… L’école m’enfermait, triste comme…
Cigales, mes sœurs, Qu’importe à nos cœurs La richesse des granges pleines ? Pourvu que nos voix Sonnent par les bois
Le temps heureux n’est plus où ray… Où Périclès vivait, étoile du ple… Où les peuples, ardents de force e… Voyant un Dieu partout, sentaient… Le temps, le temps est mort des co…
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice
Nice, trop petite naguère, S’agrandit, libre de tout mur, Ni port marchand, ni port de guerr… Toute blanche au bord de l’azur. Nice a pour orgueil d’être blanche
Que dis-tu ? Que fais-tu là-bas,… Écris-moi plus souvent encore, je… Je suis dans un torrent de bruit.… Je veille, je dors mal ; j’écris,… Dans l’immense Paris, sans trêve…
Je regrette les vieux vaisseaux do… Large et lourde, pendait du faîte… Et leurs pesants rouleaux de toile… Faisait fléchir l’antenne à l’imme… La marche du meilleur navire était…
Quand nous saurons bien tous que n… Quand l’amour coulera dans le sang… Debout sur les engins des haines e… Quand vainqueurs et vaincus s’embr… Quand, reniant le trône, un roi di…
Qui donc a pu graver ces deux vers… Près des flots, sur la porte en fe… Qui que tu sois, passant, merci.… Écrivit ces deux vers sans penser… Tu passais ; tu rêvais ; tu t’assi…