Sonnets intimes et poèmes inédits (1911)
#ÉcrivainsFrançais
Dans la maison aux murs par les li… Le cher aïeul défunt, bien souvent… Le père me témoigne une amitié par… Des deux mamans aussi je sens les… Fille de mes amis, ô belle Anna T…
Ma mémoire vous aime et vous sera… Source à qui je devrai ma santé d’… Monts altiers, gaves purs, et toi,… Qui dresses dans l’azur ta haute c… Mais la charmante enfant qui m’adm…
Sous les toits, avec deux pots de… Le poète crotté vit pourtant à son… L’élève de Jean-Jacques a trouvé… Qui lui tient un petit ménage à la… Quand il revient, ayant couru dès…
En Grèce, j’ai trouvé, parmi les… Et les lauriers profonds, dans un… Caché par les buissons les plus im… Un vieux temple de Pan, en ruine,… Pas un sentier ne mène à ces chose…
Hélas ! la chimère s’envole Et l’espoir ne m’est plus permis ; Mais je défends qu’on me console. Ne me plaignez pas, mes amis. J’aime ma peine intérieure
A quoi pensez-vous, ô drapeaux De nos dernières citadelles, Vous qui comptez plus de corbeaux Dans notre ciel que d’hirondelles… A quoi penses-tu, laboureur,
Rougissante et tête baissée, Je la vois me sourire encor. —Pour le doigt de ma fiancée Qu’on me fasse un bel anneau d’or. Elle part, mais bonne et fidèle ;
C’était un tout petit épicier de… Et sa boutique sombre, aux volets… Exhalait une odeur fade sur le tro… On le voyait debout derrière son c… En tablier, cassant du sucre avec…
J’ai dit au ramier : « Pars ! et… Au delà des champs d’avoine et de… Me chercher la fleur qui fera qu’o… Le ramier m’a dit : « C’est trop… Et j’ai dit à l’aigle : « Aide-mo…
S’il est vrai que ce monde est pou… Où, ployant sous le faix du labeur… Il expie en pleurant sa vie antéri… S’il est vrai que, dans une existe… Parmi les astres d’or qui roulent…
Avez-vous quelque espoir dans la p… Mais on s’arme. Toujours l’homme,… Toujours le « væ victis » du Barb… Et la fraternité n’est qu’un fade… Sous la tunique sombre ou sous le…
Chère âme, si l’on voit que vous p… Le chagrin du poète exilé qui vous… On raillera ma peine et l’on vous… Que l’amour fait souffrir, mais qu… Ainsi qu’un mutilé qui survit aux…
Enfant blonde aux doux yeux, ô ros… Qu’un jour j’ai rencontrée aux bor… Cygne pur émigré de ton climat de… Je t’ai vue et je t’aime ainsi qu’… Je t’aime et suis heureux comme si…
Les deux petites sont en deuil ; Et la plus grande, – c’est la mère… A conduit l’autre jusqu’au seuil Qui mène à l’école primaire. Elle inspecte, dans le panier,
En mai, par une pure et chaude apr… Je cheminais au bord d doux fleuve… Où se réfléchissait la fuite d’un… Je suivais lentement le chemin de… Tout en fleurs, qui descend en pen…