"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Qu’en dis-tu, voyageur, des pays e… Du moins as-tu cueilli l’ennui, pu… Toi que voilà fumant de maussades… Noir, projetant une ombre absurde… Tes yeux sont aussi morts depuis l…
Ô poète, faux pauvre et faux riche… Jusqu’en l’extérieur riche et pauv… (Dès lors, comment veux-tu qu’on s… Tour à tour souple drôle et monsie… Du vert clair plein d’ « espère »…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
Je fus mystique et je ne le suis p… (La femme m’aura repris tout entie… Non sans garder des respects absol… Pour l’idéal qu’il fallut renier. Mais la femme m’a repris tout enti…
L’ennui de vivre avec les gens et… Font souvent ma parole et mon rega… Mais d’avoir conscience et souci d… Exhausse ma tristesse, ennoblit mo… Alors mon discours chante et mes y…
Ce n’est plus le rêveur lunaire du… Qui riait aux aïeux dans les dessu… Sa gaîté, comme sa chandelle, héla… Et son spectre aujourd’hui nous ha… Et voici que parmi l’effroi d’un l…
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vag… Tandis qu’un très léger bruit d’ai… Un air bien vieux, bien faible et… Rôde discret, épeuré quasiment,
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, Plus clairs que l’étoile des cieux… J’aimais ses yeux malicieux. Dansons la gigue !
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
Furieuse, les yeux caves et les se… Sappho, que la langueur de son dés… Comme une louve court le long des… Elle songe à Phaon, oublieuse du… Et, voyant à ce point ses larmes d…
Vaincus, mais non domptés, exilés,… Et malgré les édits de l’Homme et… N’ont point abdiqué, crispant leur… Sur des tronçons de sceptre, et rô… Les nuages coureurs aux caprices m…
Ô vous, comme un qui boite au loin… Toi, cœur saignant d’hier qui flam… C’est vrai pourtant que c’est fini… De nos sens, aussi bien les ombres… Vieux bonheurs, vieux malheurs, co…
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Murs blancs, toit rouge, c’est l’… Du grand chemin poudreux où le pie… L’Auberge gaie avec le Bonheur po… Vin bleu, pain tendre, et pas beso… Ici l’on fume, ici l’on chante, ic…