Fleurs du midi (1836)
#ÉcrivainsFrançais
Oh ! souffrir et pleurer, c’est ce… L’homme n’est vraiment grand qu’al… Quelque soit ton malheur, mon âme… Pour moi, l’infortuné fut toujours… Si j’avais une voix de séraphin, p…
Avoir toujours gardé la candeur po… Croire à tout sentiment noble et p… Mendier un espoir comme un pauvre… Le recevoir parfois, et longtemps… Puis, lorsqu’on y croyait, dans ce…
Enfant qui seras femme, N’ouvre jamais ton âme Qu’aux modestes vertus ; Que ta charité sainte Berce et calme la plainte
Pars, puisque la gloire t’appelle… Mais lorsque tu t’enivres d’elle, Oh ! du moins, souviens-toi de moi… Quand la louange autour de toi Se répand douce à ton oreille,
Vous en souvenez-vous de ces heure… L’une à côté de l’autre, où toutes… Sans crainte, sans soupçon, s’écha… L’amitié, disions-nous, est une do… Heureux qui trouve un cœur où son…
Souvent, dans mes accords, ardents… Des grandes nations se déroulaient… Ou, détournant mes yeux de ce glob… Je déployais mon vol aux champs de… L’univers, dans toutes ses phases
Ô mes auteurs chéris, vous qui, lo… Me consolez toujours, m’entourez à… Vos écrits ont calmé mes pensers d… Et je vous aime tous, en amis, en… Dans mes rêves brillants, fils de…
Oh ! ne me conduis plus dans ces f… Où les rêves du cœur ne sauraient… Où de la vanité les brillantes ido… Obtiennent des succès qu’un jour d… Dis-moi, pourquoi veux-tu qua ce m…
« Ô souvenir de pleurs et de mélan… Ceux que j’aurais aimés ne m’ont p… Ou bien, insoucieux, Ils vantaient ma beauté sans compr… Et ne soupçonnaient pas sous ces d…
Jeune levrette, au poil d’ébène, Au flanc mince, au col assoupli, Ton dos, où ma main se promène, A l’éclat de l’acier poli. Tu dresses tes noires oreilles
Non, plus de vers, jamais ; ce mon… Ma muse, a fait pâlir ton front pu… Ton aile s’est brisée en touchant… Comme un oiseau blessé cache-toi d… Non, plus de vers, jamais, car les…
Heureux qui voit la mort et qui pe… Heureux qui n’a jamais senti son c… En voulant pénétrer le déchirant m… Que le cercueil dérobe aux enfants… Moi, je cherchai longtemps l’énigm…
C’est un de ces frétons de la litt… Qui, d’auteurs en auteurs, butinen… Formant péniblement, de ce qu’ils… Un volume indigeste, et de vers, e… Où, sur le frontispice un artiste…
Vois-tu la jeune vierge à l’âme vé… Qui se meurt chaque jour du mal qu… La vois-tu, mendiant, comme un tré… Un cœur qui la comprenne, et le ch… Oh ! qui saura jamais sa souffranc…
Quand je vais triste et seule, et… Je suis quelque nuage errant sur l… Et, comme ces draps noirs qu’on me… Couvrant des boulevards les arbres… Lorsqu’au bourdonnement de ce chao…