#ÉcrivainsFrançais
J’imagine souvent, au-dessus de mo… Un visage sacrificiel, dont les ra… Sont comme un champ de terre labou… Les lèvres et les yeux sont souria… Le front est morne, un bruit de me…
Il v avait un couloir au fond du j… Je ic’vais que j’allais dans ce co… La mort venait avec ses Heurs hautes flétries. Je rêvais que je lui prenais ce bo…
Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Dedham, vu de Langham. L’été est sombre Où des nuages se rassemblent. On pourrait croire
D’une branche neigeuse à l’autre,… Qui ont passé sans qu’aucun vent n… Se font des éparpillements de la l… À des moments, comme nous avançons… Et cette poudre ne retombe qu’infi…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…
Cinq heures. Le sommeil est léger, en taches su… Le jour puise là-bas dans la coule… Ruisselante, du soir. Et c’est comme si l’âme se simplif…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Tu as été sculptée à une proue, Le temps t’a corrodée comme eût fa… Il a fermé tes yeux une nuit d’ora… Il a taché de sel ton sein presque… O sainte aux mains brûlées que rec…
Tu vieillissais dans les plis De la grisaille divine. Qui est venu, d*une lampe. Empourprer ton horizon nu ? L’enfant sans hâte ni bruit
Mais toi, mais le désert ! étends… Tes nappes ténébreuses. Insinue dans ce coeur pour qu’il n… Ton silence comme une cause làbule… Viens.
Heurte, Heurte à jamais. Dans le leurre du seuil. A la porte, scellée. A la phrase, vide.