#ÉcrivainsFrançais
Écoute, il ne faut plus ces mains… Comme éternellement l’écume et le… Et même plus ces yeux qui se tourn… Aimant mieux le sommeil encore par… Il ne faut plus tenter d’unir voix…
Il s’agit bien de cet objet : tête de cheval plus grande que nature où s’incruste toute une ville, ses rues et ses remparts courant entre les yeux, épousant le méandre et rallongement d...
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
Tu écoutes la chaîne heurter la pa… Quand le seau descend dans le puit… Parfois l’étoile du soir, celle qu… Parfois le feu sans rayons qui att… Que le berger et les bêtes sortent…
Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…
Je suis comme le pain que tu rompr… Comme le feu que tu feras, comme l… Qui t’accompagnera sur la terre de… Comme l’écume Qui a mûri pour toi la lumière et…
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
L’enfant semblait errer au sommet… On ne comprenait pas son corps, en… D’un feu, d’une fumée, que la lumi… Trouait d’un coup, parfois, comme… Il montait, descendait un peu, il…
Il y a nombre d’années, AV., Nous avons vu le temps venir au-de… Qui regardions par la fenêtre ouve… De la chambre au-dessus de la chap…
Il y a qu’une épée était engagée Dans la masse de pierre. La garde était rouillée, l’antique… Avait rougi le flanc de la pierre… Et tu savais qu’il te fallait sais…
Un dernier cerf se perdant Parmi les arbres, Le sable retentira Du pas d’obscurs arrivants. Dans la maison traversée
Il rêva qu’il ouvrait les yeux, su… Qui approchaient du port, silencie… Encore, feux éteints ; mais doublé… D’une ombre où foisonnait la futur… Puis il se réveilla.