#ÉcrivainsFrançais
Parfois je te savais la terre, je… Sur tes lèvres l’angoisse des font… Quand elle sourd des pierres chaud… Dominait haut la pierre heureuse e… Parfois je te disais de myrte et n…
L’enfant semblait errer au sommet… On ne comprenait pas son corps, en… D’un feu, d’une fumée, que la lumi… Trouait d’un coup, parfois, comme… Il montait, descendait un peu, il…
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Elle est venue de plus loin que le… Elle a touché le pré, l’ocre des f… De cette main qui écrit en fumée, Elle a vaincu le temps par le sile… Davantage de lumière ce soir
Puisque c’est à la tombée de la nuit que prend son vol l’oiseau de Minerve, c’est le moment de parler de vous, chemins qui vous effacez de cette terre victime. Vous avez été l’évidence,...
Qu’une place soit faite à celui qu… Personnage ayant froid et privé de… Personnage tenté par le bruit d’un… Par le seuil éclairé d’une seule m… Et s’il reste recru d’angoisse et…
Deux fois silencieuse l’après-midi Par vertu de l’été désert, et d’un… Qui déborde, on ne sait si de ce v… Ou de plus haut encore dans le cie… Nous avons donc dormi : je ne sais…
L’aube passe le seuil, le vent s’e… Le feu s’est retiré dans la laure… Terre des bouches froides, ô crian… Le plus vieux deuil par tes secrèt… L’aube va refleurir sur tes yeux d…
Quel est Je lieu des morts. Ont-ils droit comme nous à des che… Parlent-ils, plus réels étant leur… Sont-ils l’esprit des feuillages o…
L’oiseau qui s’est dépris d’être Phénix Demeure seul dans l’arbre pour mou… Il s’est enveloppé de la nuit de b… II ne sent pas l’épée qui pénètre…
Tu sauras qu’il te tient dans l’ât… Tu sauras qu’il te parle, et remua… Les cendres de ton corps avec le f… Tu sauras qu’il est seul et ne s’a… Lui qui a tant détruit ; qui ne sa…
Es-tu gaie ou triste ? Ai-jc su jamais. Sauf que rien ne pèse Au cœur sans retour. Aucun pas d’oiseau
UNE VOIX Tu fus sage d’ouvrir, il vint à la… UNE AUTRE VOIX La première venue en forme d’oisea… UNE voix
Quelle maison veux-tu dresser pour… Quelle écriture noire quand vient… J’ai reculé longtemps devant tes s… Tu m’as chassée de toute densité. Mais voici que la nuit incessante…