Dernière Gerbe (Posthume, 1902)
#ÉcrivainsFrançais
L’amour fut de tout temps un bien… Si l’on ne veut pas être à la port… Dès qu’on aime une belle, on s’obs… On met le naturel de côté ; bête b… On se fait ange ; on est le nain…
Dante écrit deux vers, puis il sor… Se parlent. Le premier dit :– Les… Cieux ! je suis immortel.– Moi, j… Dit l’autre.– je suis l’astre.– E… —Quoi ! tu doutes étant fils d’un…
Une terre au flanc maigre, âpre, a… Où les vivants pensifs travaillent… Et qui donne à regret à cette race… Un peu de pain pour tant de labeur… Des hommes durs, éclos sur ces sil…
Personne pour toi. Tous sont d’ac… Nommé Gladstone, dit à tes bourre… Cet autre, nommé Grant, te conspu… Nommé Bancroft, t’outrage ; ici c… Là c’est un soldat, là c’est un ju…
Je ne songeais pas à Rose ; Rose au bois vint avec moi ; Nous parlions de quelque chose, Mais je ne sais plus de quoi. J’étais froid comme les marbres ;
Après avoir donné son aumône au pl… Pensif, il s’arrêta pour les voir.… Avait maigri leur joue, avait flét… Ils s’étaient tous les quatre à te… Puis, s’étant partagé, comme ferai…
Fuis l’éden des anges déchus ; Ami, prends garde aux belles fille… Redoute à Paris les fichus, Redoute à Madrid les mantilles. Tremble pour tes ailes, oiseau,
IX. Oh ! bien loin de la voie Où marche le pécheur, Chemine où Dieu t’envoie ! Enfant, garde ta joie !
En guerre les guerriers ! Mahomet… Les chiens mordent les pieds du li… Ils relèvent leur tête infâme. Ecrasez, ô croyants du prophète di… Ces chancelants soldats qui s’eniv…
Ô toi d’où me vient ma pensée, Sois fière devant le Seigneur ! Relève ta tête abaissée, Ô toi d’où me vient mon bonheur ! Quand je traverse cette lieue
Puisque rien ne t’arrête en cet he… Ni l’ombre du palmier, ni le jaune… Ni le repos, ni l’abondance, Ni de voir à ta voix battre le jeu… De nos sœurs, dont, les soirs, le…
Dans l’alcôve sombre, Près d’un humble autel, L’enfant dort à l’ombre Du lit maternel. Tandis qu’il repose,
Oh ! Quand donc aurez-vous fini,… De jaser au milieu des branches et… Que nous nous expliquions et que j… Rouge-gorge, verdier, fauvette, to… Oiseaux, je vous entends, je vous…
Hymne aux morts de juillet.… Ceux qui pieusement sont morts pou… Ont droit qu’à leur cercueil la fo… Entre les plus beaux noms leur nom… Toute gloire près d’eux passe et t…
Dans le frais clair-obscur du soir… L’une pareille au cygne et l’autre… Belle, et toutes deux joyeuses, ô… Voyez, la grande soeur et la petit… Sont assises au seuil du jardin, e…