(Après l'arrêt de mort prononcé le 12 juillet 1839).
"Les rayons et les ombres (1840)" Le 12 juillet 1839, à minuit.
#ÉcrivainsFrançais
Mugissement des boeufs, au temps d… Comme aujourd’hui, le soir, quand… Ou, le matin, quand l’aube aux cha… Verse à flots la rosée et le jour,… Mûrissez, blés mouvants ! prés, em…
Tandis que l’étoile inodore Que l’été mêle aux blonds épis Emaille de son bleu lapis Les sillons que la moisson dore, Avant que, de fleurs dépeuplés,
Ce n’est pas le canon du noir vend… Ni les boulets de juin, ni les bom… Qui font la haine éteinte et l’ulc… Moi, pour aider le peuple à résoud… Je me penche vers lui. Commenceme…
C’était du temps que j’étais jeune… Je maigrissais ; rien ne maigrit Comme cette espèce de jeûne Qu’on appelle nourrir l’esprit. J’étais devenu vieux, timide,
Un jour, Dieu sur sa table Jouait avec le diable Du genre humain haï. Chacun tenait sa carte L’un jouait Bonaparte,
VII. Quand sur votre poitrine il jeta s… Ses rubans et sa croix, après cett… Et ce coup de lacet, Ô soldats dont l’Afrique avait hâl…
Ô vous que votre âge défend, Riez ! tout vous caresse encore. Jouez ! chantez ! soyez l’enfant ! Soyez la fleur ; soyez l’aurore ! Quant au destin, n’y songez pas.
« Oh ! disaient les peuples du mon… Les derniers temps sont-ils venus… Nos pas, dans une nuit profonde, Suivent des chemins inconnus. Où va-t-on ? dans la nuit perfide,
Ce serait une erreur de croire que… Finiront par des chants et des apo… Certes, il viendra, le rude et fat… Jamais l’arrêt d’en haut ne recule… Mais ces jours effrayants seront d…
Nous allions au verger cueillir de… Avec ses beaux bras blancs en marb… Elle montait dans l’arbre et courb… Les feuilles frissonnaient au vent… O Virgile, ondoyait dans l’ombre…
Tu vois cela d’ici. Des ocres et… Plaines où les sillons croisent le… Chaumes à fleur de terre et que ma… Quelques meules de foin debout sur… De vieux toits enfumant le paysage…
À MADEMOISELLE LOUISE… –Ainsi donc rien de grand, rien de… Rien qui soit digne, ô ciel ! de t… Rien qui puisse anoblir le vil siè… Ne sortira du cœur de l’homme enfa…
La sœur. Qu’avez-vous, qu’avez-vous, mes fr… Vous baissez des fronts soucieux. Comme des lampes funéraires, Vos regards brillent dans vos yeux…
Donc un homme a vécu qui s’appelai… Un autre Paul-Emile, un autre Ci… Ces hommes ont été grands, puissan… Ont marché, précédés des faisceaux… Ont été généraux, magistrats, orat…
Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,