" Les chansons des rues et des bois (1865)"
#ÉcrivainsFrançais
Vois, cette branche est rude, elle… Verse la pluie à flots sur son éco… Mais attends que l’hiver s’en aill… Une feuille percer ces noeuds si d… Et tu demanderas comment un bourge…
Là-haut qui sourit ? Est-ce un esprit ? Est-ce une femme ? Quel front sombre et doux ! Peuple, à genoux !
Orphée, au bois du Caystre, Ecoutait, quand l’astre luit, Le rire obscur et sinistre Des inconnus de la nuit. Phtas, la sibylle thébaine,
Jeanne songeait, sur l’herbe assis… Je m’approchai :– Dis-moi si tu v… Jeanne ?—car j’obéis à ces charman… Je les guette, et je cherche à com… Tout ce qui peut passer par ces di…
Et les voilà mentant, inventant, m… Les voilà, fronts sans honte et bo… Calomniant l’honneur du pays, flét… Tous les lutteurs, ceux-ci qui ver… Ceux-ci, plus grands encor, qui, v…
Il est dans l’atrium, le beau roue… La roue agile est blanche, et la q… La quenouille est d’ébène incrusté… Il est dans l’atrium sur un riche… Un ouvrier d’Egine a sculpté sur…
Toujours lui ! Lui partout ! – Ou… Son image sans cesse ébranle ma pe… Il verse à mon esprit le souffle c… Je tremble, et dans ma bouche abon… Quand son nom gigantesque, entouré…
Tous les bas âges sont épars sous… Certes, l’alignement des vases et… Ce parterre au cordeau, ce cèdre r… Ce chêne que monsieur Despréaux e… Ces barreaux noirs croisés sur la…
Enfants ! fils des héros disparus… Qui firent mon pays plus grand que… Et qui s’en sont allés, dans l’abî… Vous que nous voyons rire et jouer… Sur vos fronts innocents la sombre…
Être riche n’est pas l’affaire ; Toute l’affaire est de charmer ; Du palais du grenier diffère En ce qu’on y sait mieux aimer. L’aube au seuil, un grabat dans l’…
Oh ! t… The da… And th… Are wo… BYRON.
La pauvre fleur disait au papillon… —Ne fuis pas ! Vois comme nos destins sont différ… Tu t’en vas ! Pourtant nous nous aimons, nous vi…
Lorsque Abd-el-Kader dans sa geôl… Vit entrer l’homme aux yeux étroit… Que l’histoire appelle—ce drôle,— Et Troplong—Napoléon trois ; Qu’il vit venir, de sa croisée,
Quoi, frère, tu frémis parce qu’on… Tu ne connais donc pas la force du… Quand tu te vois honni, hué, siffl… Par des faquins à l’âme obscure, a… Qui firent cent métiers et jouèren…
Un vase, flanqué d’un masque, En faïence de Courtrai, Vieille floraison fantasque Où j’ai mis un rosier vrai, Sur ma fenêtre grimace,