Douces colonnes, aux Chapeaux garnis de jour, Ornés de vrais oiseaux Qui marchent sur le tour, Douces colonnes, ô
Regardez un cœur transparent, Garde-le à l’esprit, pour t’en sou… Si je mets mon âme à nu devant toi… Cherche la consolation dans la tra… Face aux constats,
Là, du haut de ma tour, moi je vou… Par devers le marais, au plus loin… Lors, quand viendra ce jour, je vo… En mon humble palais, vous y serez… Au feu de nos amours, s’embrasera…
Les poissons, les nageurs, les bat… Transforment l’eau. L’eau est douce et ne bouge Que pour ce qui la touche. Le poisson avance
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Sed sa… LUCAIN. Où donc est le bonheur ? disais-je… Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l… Naître, et ne pas savoir que l’enf…
C’est pas seulement ma voix qui ch… C’est l’autre voix, une foule de v… Voix d’aujourd’hui ou d’autrefois Des voix marrantes, ensoleillées Désespérées, émerveillées
L’un t’éclaire avec son ardeur, L’autre en toi met son deuil, Nat… Ce qui dit à l’un : Sépulture ! Dit à l’autre : Vie et splendeur… Hermès inconnu qui m’assistes
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
A Paul et Virginie au tenon et à la mortaise à la chèvre et au chou
Louis Louis Louis ILE Louis
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
Ce ne sont qu’horizons calmes et p… On voit sur les coteaux des chasse… Le reste du pays, sous le ciel gri… Est une plaine avec une église au… Un lierre monstrueux à tige arbore…
Quelle, et si fine, et si mortelle… Que soit ta pointe, blonde abeille… Je n’ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu’un songe de dentelle. Pique du sein la gourde belle,
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Un jour, dans les petites montagnes des Alpes-Maritimes, du côté d’Entrevaux je crois, Robert Dois-neau « en reportage » accompagnait un berger, ses moutons et ses chiens, lorsqu’un ca...
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
C’est la guerre c’est l’été Déjà l’été encore la guerre Et la ville isolée désolée Sourit sourit encore Sourit sourit quand même
Par je ne sais quelle aventure, Un avare, un beau jour, voulant se… Au marché courut acheter Des pommes pour sa nourriture. Dans son armoire il les porta,
Tu vois, c’est une page .. qui ri… Au vinaigre .. l histoire lui don… C’est le poète Alain .. qui aura… Tu sais, il est encore blessé ..… Mais .. la mort peut encore attend…
C’est un restaurant comme les autres. Faut-il croire que je ne ressemble à personne ? Une grande femme, à côté de moi, bat des œufs avec ses doigts. Un voyageur pose ses vêtements sur u...
Nos yeux se renvoient la lumière Et la lumière le silence À ne plus se reconnaître À survivre à l’absence.
Un voile clair, un voile épais Recouvre notre destinée Mais l’étoile qui nous est née Demeure une étoile de paix. Peuvent-ils nous mentir, les astre…
Le toi… ANDRÉ CHÉNIER. Lorsque l’enfant paraît, le cercle… Applaudit à grands cris. Son doux regard qui brille
Il existe près des écluses Un bas quartier de bohémiens Dont la belle jeunesse s’use À démêler le tien du mien En bande on s’y rend en voiture,
Un immense brin d’herbe Une toute petite forêt Un ciel tout à fait vert Et des nuages en osier Une église dans une malle
J’ai, quelque jour, dans l’Océan, (mais je ne sais plus sous quels c… Jeté, comme offrande au néant, Tout un peu de vin précieux... Qui voulut ta perte, ô liqueur ?
Je réfléchissais tellement vite Que le temps semblait ralentir. J’allais très vite que je sentis, Pour une fois de toute ma vie, Les mains nues et gourdes,
Le porte-monnaie : Je suis d’une incontestable utilit… D’accord mais tout de même il faut… Que si je n’existais pas il faudra… Moi je me passe de commentaires
Un millier de sauvages S’apprêtent à combattre. Ils ont des armes, Ils ont leur cœur, grand cœur, Et s’alignent avec lenteur