Oh ! Je voudrais tant que tu te souvien… des jours heureux où nous étions a… En ce temps-là la vie était plus b… et le soleil plus brûlant qu’aujou…
Zeus, dieu des dieux, puissance universelle fut élevé en Crète pou… échapper à son père Cronos qui vou… l’avaler comme ses frères et sœurs… Sa nourrice était une chèvre, Ama…
Sonnet IX. France, mère des arts, des armes e… Tu m’as nourri longtemps du lait d… Ores, comme un agneau qui sa nourr… Je remplis de ton nom les antres e…
Un très vieux perroquet vint lui porter ses graines de tou… et le soleil entra dans sa prison…
Heureux qui, comme Ulysse, a fait… Ou comme cestuy-là qui conquit la… Et puis est retourné, plein d’usag… Vivre entre ses parents le reste d… Quand reverrai-je, hélas, de mon p…
Ma vie pour toi Mon Dieu, mon père vois ma pleine… Cette fin de vie qui fait ma trist… Telle une belle rose flétrie par l… Ma vie s’achève, que je l’aimais t…
Un jour, dans les petites montagnes des Alpes-Maritimes, du côté d’Entrevaux je crois, Robert Dois-neau « en reportage » accompagnait un berger, ses moutons et ses chiens, lorsqu’un ca...
Nous avons pensé des choses pures Côte à côte, le long des chemins, Nous nous sommes tenus par les mai… Sans dire... parmi les fleurs obsc… Nous marchions comme des fiancés
Traversez si le cœur vous en dit ou restez là plantés sur la plante de vos pieds La Psyché s’en balance si le cœur vous en tait Traversez la plage de sable et de tain traversez l’horair...
C’est les fragments de poésies . J écris des mots pour l histoire… Qui vont restés dans nos mémoires… Des phrases .. qui résonnent dans… Avec le soleil majestueux .. la p…
Les clefs de la ville Sont tachées de sang L’Amiral et les rats ont quitté l… Depuis longtemps Sœur
Comme un aveugle s’en allant vers… Dans les bruits de la ville assail… Appuie obstinément aux vitres des… Ses yeux qui ne voient pas vers l’… Comme ce rail brillant dans l’ombr…
Ah ! vous allez là-bas Oui Vous savez où c’est ? Non mais je connais Et vous emmenez tous ces bagages ?
Couronné d’étincelles Un marchand de pierres à briquet Élève la voix le soir Dans les couloirs de la station Javel
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
L’amour est clair comme le jour l’amour est simple comme bonjour l’amour est nu comme la main c’est ton amour et le mien pourquoi parler du grand amour pourquoi chanter la grande vie ? ...
Quelle, et si fine, et si mortelle… Que soit ta pointe, blonde abeille… Je n’ai, sur ma tendre corbeille, Jeté qu’un songe de dentelle. Pique du sein la gourde belle,
Tout amoureux, de sa maîtresse, Sur son coeur ou dans son tiroir, Possède un gage qu’il caresse Aux jours de regret ou d’espoir. L’un d’une chevelure noire,
Je dis : tu n’auras qu’un poème Et voilà que j’en glisse deux L’un pour te répéter : « Je t’aim… L’autre : « Je suis ton amoureux…
Nos cheminées sont vides nos poches retournées ohé ohé ohé nos cheminées sont vides nos souliers sont percés
Tes yeux sont revenus d’un pays ar… Où nul n’a jamais su ce que c’est… Ni connu la beauté des yeux, beaut… Celle des gouttes d’eau, des perle… Des pierres nues et sans squelette…
Les Sirènes chantaient... Là-bas,… Une harpe d’amour soupirait, infin… Les flots voluptueux ruisselaient… Et des larmes montaient aux yeux d… Les Sirènes chantaient... Là-bas,…
Regardez un cœur transparent, Garde-le à l’esprit, pour t’en sou… Si je mets mon âme à nu devant toi… Cherche la consolation dans la tra… Face aux constats,
Pauvre joueur de bilboquet A quoi penses-tu Je pense aux filles aux mille bouq… Je pense aux filles aux mille beau…
Louis Louis Louis ILE Louis
Comme d’un cercueil vert en fer bl… De femme à cheveux bruns fortement… D’une vieille baignoire émerge, le… Avec des déficits assez mal ravaud… Puis le col gras et gris, les larg…
Oranges des orangers citrons des c… Mystères fastueux et journaliers La vie est belle je me tue à vous le dire dit la fleur
De ce ciel bizarre et livide, Tourmenté comme ton destin, Quels pensers dans ton âme vide Descendent ? réponds, libertin. —Insatiablement avide
Nous regardions nos arbres, c’étai… De la terrasse qui nous fut chère,… Se tenait près de nous cette fois… Mais en retrait, hôte silencieux Au seuil de la maison en ruines, q…