#ÉcrivainsFrançais
Si j’ai ri ce n’est pas du monde é… Les têtes penchées ou droites me f… Les jambes qui courent tremblent e… Je n’ai pas ri du monde qui passai…
Le carton blanc au mur c’est l’ovale d’un œil dont la pau… Devant la glace il manque la pendu… Les mains tiennent l’air dans la c… Mais on ne sait pas très bien ce q…
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés
Le train siffle et repart dans la fumée qui se fond au ciel bas. C’est un long convoi de larmes et sur chaque quai où l’on se sépare de nouveaux bras agitent des mouchoirs. Mais celui-l...
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
La cloche qui sonne on ne l’entend… L’air est trouble Un bruit de pas glisse sur le pali… Personne n’entre Non personne ne veut entrer
Le Vestiaire Le Portemanteau La lumière
Une niche Un nombre Une troupe d’hommes Tout le bout est là On n’avance plus
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Il a chassé la lune, il a laissé l… Derrière les trembles un étrange p… Rien ne se prend, mais il emplit s… Mais un autre attendait plus loin…
Elle est allumée On ne voit plus qu’elle Et le cœur triangulaire Qui brille au soleil Une matinée
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
La bande roule aux mains des plus… Celui qui tient la corde serre bie… Il s’agit d’entrer Une ombre dans l’angle du couloir… Le silence file le long du mur
II criait dans la ruelle à l’abri Je suis le mari de cette femme déb… Qui vous montrera son cœur et son… Regardez L’heure du départ avait depuis lon…