#ÉcrivainsFrançais
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb
Les étoiles sont près du toit et l… Un sillon tortueux creuse le sol a… Du pavillon Du temple De la ville
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Quelqu’un parle et je suis debout Je vais partir là-bas à l’autre bo… Les arbres pleurent Parce qu’au loin d’autres choses m… Maintenant la tête a tout pris
Non Le personnage historique Et là le soleil s’arrêtait C’était un homme qui passait Le cheval si maigre
On passe comme des bœufs Sur le quai les lumières s’allonge… Le wagon tourne sur la roue du mil… Les chevelures se dressent dans la… Les mots qui passent font du bruit
L’enseigne de la rue dévoile son m… Le bras tendu près du balcon porte… Les yeux sont agrandis par un dern… Le clocher devient bas Un nuage le casse
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
J’ai peut-être mis au vestiaire plus que mes vêtements. Je m’avance, allégé, avec trop d’assurance et quelqu’un dans la salle a remarqué mes pas. Les rayons sont pleins de danseuses. Je...
Tout ce qui s’est passé glisse dan… C’est ce carré au sol qui marque l… C’est un peu de soleil Chaud derrière la tête C’est un verre brisé
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…
Autour de la table Au bord de l’ombre Aucun d’eux ne remue beaucoup Et quelqu’un parle tout à coup Il fait froid dehors
Sur la crête du toit il y a une armée immobile ou une rangée de cheminées sans armes. En bas, de rares éclaireurs montent la garde et poursuivent de leur falot l’ombre imprécise. Dans l...
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux