#ÉcrivainsFrançais
L " air nous est remis les amis baibares le refrain chois… Les vieilles promesses la terre végétale et le paradis L’heure s’ouvre au signal
La cheminée garde le toit Gomme le sommet la montagne Le ciel passe derrière et le nuage… Contre l’œil qui regarde Minuit
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Les rideaux déchirés se balancent C’est le vent qui joue Il court sur la main entre par la… Ressort et s’en va mourir n’import… Le vent lugubre et fort emporte to…
Le soir Le monde est creux A peine une lumière L’éclat d’une main sur la terre Et d’un front blanc sous les cheve…
Un souffle sec vient de plus loin Les ailes noires se balancent Rien ne part Au chemin tournant Les ardeurs du jour se délassent
La cloche qui sonnait au loin Dès le réveil Battement d’aile Sur ma tête où joue le soleil Un souvenir remue à peine
Plus épais, il avait voulu le faire plus épais pour son fils que pour lui, Roi. Et, entre la canne et la corne où se balance son chapeau et la tête vide qui rit de sa position saugrenue...
La maison qui ne monte plus s’immobilise net dans le paysage. Mais le soir des lumières courent des fenêtres à travers les arbres. J’ai deviné ton regard qui transparaît sous tes paupiè...
Sur son pied droit brille une très ancienne boucle et sur l’autre, en l’air, la menace. N’approche pas de son domaine où dort tout le passé désagréable. Qui es-tu ? Sans prévoir ce qui ...
Mince et froide l’aile du temps s’… Et l’air au bout du jour vient ajo… L’écho des plaintes et les murmure… L’heure passe aux couleurs Les numéros s’égalent
Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir—descend sur le sommet de la tête nue—la tête du vieillard qui s’arrête. Il est dans un jardin bordé de grilles, en cag...
Il y a parfois dans la ville ceux… Le cadre illuminé passant sur les… Dans ce paysage parisien roux à l’… Il y a tous ceux qui passent feuil… Sur le fond du jardin bien rangé s…
C’est une étonnante chimère. La tête, plus haut que cet étage, se place entre les deux fils de fer et se cale et se tient ; rien ne bouge. La tête inconnue parle et je ne comprends aucu...
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...