"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
« Angels », seul coin luisant dans… Où flambe un peu de gaz et jase qu… C’est drôle que, semblable à tel t… Ton souvenir m’obsède et puissamme… Autour de mon esprit un regret rou…
Dans l’herbe noire Les Kobolds vont. Le vent profond Pleure, on veut croire. Quoi donc se sent ?
Il fait nuit dans la chambre étroi… Vient de rentrer, couvert de neige… Depuis trois jours il n’a pas pron… La femme a peur et fait des signes… Un seul lit, un bahut disloqué, qu…
L’immensité de l’humanité, Le Temps passé vivace et bon père… Une entreprise à jamais prospère : Quelle puissante et calme cité ! Il semble ici qu’on vit dans l’his…
Comme un vol criard d’oiseaux en é… Tous mes souvenirs s’abattent sur… S’abattent parmi le feuillage jaun… De mon cœur mirant son tronc plié… Au tain violet de l’eau des Regre…
Vous êtes calme, vous voulez un vœ… Des secrets à mi-voix dans l’ombre… Le cœur qui se répand plutôt qu’il… Et ces timides, moins transis qu’i… Vous accueillez d’un geste exquis…
Je n’ai pas de chance en femme, Et, depuis mon âge d’homme, Je ne suis tombé guère, en somme. Que sur des criardes infâmes. C’est vrai que je suis criard
Nos repas sont charmants encore qu… Grâce à ton art profond d’accommod… Du rôti d’hier ou de ce récent pot… En hachis et ragoûts comme on n’en… Le vin n’a pas ce nom, car à quoi…
On n’offense que Dieu qui seul pa… On centriste son frère, on l’affli… On fait gronder sa haine ou pleure… Et c’est un crime affreux qui va t… Des simples, et donner au monde sa…
Beauté des femmes, leur faiblesse,… Qui font souvent le bien et peuven… Et ces yeux, où plus rien ne reste… Que juste assez pour dire : “ asse… Et toujours, maternelle endormeuse…
Ah ! vraiment c’est triste, ah ! v… Il n’est pas permis d’être à ce po… Ah ! vraiment c’est trop la mort d… Qui voit tout son sang couler sous… Londres fume et crie. O quelle vi…
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
Tu nous rends l’égal des héros et… Et, nous procurant d’être les seul… Fais de nos orgueils des sommets r… Non plus ces foyers de troubles in… Tu brilles et luis, vif astre aux…
Je voudrais, si ma vie était encor… Qu’une femme très calme habitât av… Plus jeune de DIX ans, qui portâ… La moitié d’une vie au fond plutôt… Notre cœur à tous deux dans ce châ…
Tes yeux, tes cheveux indécis, L’arc mal précis de tes sourcils, La fleur pâlotte de ta bouche, Ton corps vague et pourtant dodu, Te donnent un air peu farouche