Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
Le son du cor s’afflige vers les b… D’une douleur on veut croire orphe… Qui vient mourir au bas de la coll… Parmi la bise errant en courts abo… L’âme du loup pleure dans cette vo…
Sois de bronze et de marbre et sur… Certes, prise l’orgueil nécessaire… Pour ton combat avec les contingen… Que les poils de ta barbe ou le sa… Mais vis, vis pour souffrir, souff…
Tendre, la jeune femme rousse, Que tant d’innocence émoustille, Dit à la blonde jeune fille Ces mots, tout bas, d’une voix dou… « Sève qui monte et fleur qui pous…
Ce n’est plus le rêveur lunaire du… Qui riait aux aïeux dans les dessu… Sa gaîté, comme sa chandelle, héla… Et son spectre aujourd’hui nous ha… Et voici que parmi l’effroi d’un l…
À grands plis sombres une ample ta… De haute lice, avec emphase descen… Le long des quatre murs immenses d… Mystérieux où l’ombre au luxe se m… Les meubles vieux, d’étoffe éclata…
Jésus au ciel est monté Pour vous envoyer sa grâce Espérance et charité, Foi qui jamais ne se lasse, Patience et tous les dons
Parmi l’obscur champ de bataille Rôdant sans bruit sous le ciel noi… Les loups obliques font ripaille Et c’est plaisir que de les voir, Agiles, les yeux verts, aux pattes
Puis, déjà très anciens, Des songes de souvenirs, Si doux nécromanciens D’encor pires avenirs : Une fille, presque enfant,
Chaque coquillage incrusté Dans la grotte où nous nous aimâme… A sa particularité. L’un a la pourpre de nos âmes Dérobée au sang de nos coeurs
Aussi, la créature était par trop… Qui donnait ses baisers comme un e… Indifférente à tout, hormis au pre… De la cire à moustache et de l’emp… Et j’ai ri, car je tiens la soluti…
La cathédrale est majestueuse Que j’imagine en pleine campagne Sur quelque affluent de quelque M… Non loin de l’Océan qu’il regagne… L’Océan pas vu que je devine
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Bon pauvre, ton vêtement est léger Comme une brume, Oui, mais aussi ton cœur, il est l… Comme une plume, Ton libre cœur qui n’a qu’à plaire…
Furieuse, les yeux caves et les se… Sappho, que la langueur de son dés… Comme une louve court le long des… Elle songe à Phaon, oublieuse du… Et, voyant à ce point ses larmes d…