"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
La pierre rebondit sur l’eau, La fumée n’y pénètre pas. L’eau, telle une peau Que nul ne peut blesser Est caressée
La ville cousue de fil blanc, Les toits portants cheminées, Le ciel parallèle aux rues, Les rues, La fumée sur les trottoirs,
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens… Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s’engloutit dans mon ombre
« Le mal, c’est comme les enfants,… Par ce temps qui délabre tout, as-… et que l’eau qui tombe entre nous…
Au milieu d’une île étonnante Que ses membres traversent Elle vit d’un monde ébloui. La chair que l’on montre aux curie… Attend là comme les récoltes
La vie entièrement conquise, on po… « Les blés sont bien mûrs et la pl… Sûrs d’être heureux pour toujours,… « Ma plaine est immense et j’y boi… Le rêve viendrait, la nuit, en dor…
Petite table enfantine, il y a des femmes dont les yeux so… il y a des femmes graves comme les… il y a des femmes au visage pâle d’autres comme le ciel à la veille…
C’est la guerre ! Rien n’est plus… Je suis très sale (chez nous on ne… La ville est toujours ardente. Au… Et nous, nous demandons déjà à ceu…
Les muets sont des menteurs, parle… Je suis vraiment en colère de parl… Et ma parole Éveille des erreurs. Mon petit cœur.
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Terre irréprochablement cultivée, Miel d’aube, soleil en fleurs, Coureur tenant encore par un fil a… (Nœud par intelligences) Et le jetant sur son épaule :
L’aube je t’aime j’ai toute la nui… Toute la nuit je t’ai regardée J’ai tout à deviner je suis sûr de… Elles me donnent le pouvoir De t’envelopper
L’alarme matérielle où, sans excus… C’est bien : presque insensible.… Aucun étonnement, une femme ou un… Leurs yeux se sont levés plus tôt… *
Le chat s’établit dans la nuit pou… Dans l’air libre, dans la nuit, le… Et, triste, à hauteur d’homme, l’h…