"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Le mensonge menaçant les ruses dur… Des bouches au fond des puits des… Et des vertus subites des filets à… Les envies d’inventer d’admirables… Des faux des pièges entre les corp…
Loin, le soleil aiguise sur les pierres sa hâte d’en finir. L’art d’aimer, l’art libéeral, l’art de bien mourir, l’art de penser, l’art incohérent, l’art de fumer, l’art de jouir, l’art...
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,
La bonne neige le ciel noir Les branches mortes la détresse De la forêt pleine de pièges Honte à la bête pourchassée La fuite en flèche dans le cœur
J’ai fermé les yeux pour ne plus r… J’ai fermé les yeux pour pleurer De ne plus te voir. Où sont tes mains et les mains des… Où sont tes yeux les quatre volont…
Bois meurtri bois perdu d’un voyag… Navire où la neige prend pied Bois d’asile bois mort où sans esp… De la mer aux miroirs crevés Un grand moment d’eau froide a sai…
Cette bouche dure, sans larmes, Choisit les femmes Et les yeux de couleur Apprécient Toujours un peu plus de chair.
Premier commandement du vent La pluie enveloppe le jour Premier signal d’avoir à tendre La voile claire à nos yeux Au front d’une seule maison
L’habituelle Joue bonjour comme on joue l’aveug… L’amour alors même qu’on y pense à… Elle est sur le rivage et dans tou… Toujours
Où la vie se contemple tout est su… Monté les couronnes d’oubli Les vertiges au cœur des métamorph… D’une écriture d’algues solaires L’amour et l’amour.
Les représentants tout-puissants d… Des yeux graves nouveaux-nés Pour supprimer la lumière L’arc de tes seins tendu par un av… Qui se souvient de tes mains
Une seule corde une seule torche u… Étrangla DIX hommes Brûla un village Avillit un peuple La douce chatte installée dans la…
À haute voix L’amour agile se leva Avec de si brillants éclats Que dans son grenier le cerveau Eut peur de tout avouer.
Songe aux souffrances taillées sou… Aux petits amateurs de rivières to… Où promenade pour noyade Nous irons sans plaisir Nous irons ramer
Sur la maison du rire Un oiseau rit dans ses ailes. Le monde est si léger Qu’il n’est plus à sa place Et si gai