"Répétitions"
#ÉcrivainsFrançais
L’homme s’enfuit, le cheval tombe, La porte ne peut pas s’ouvrir, L’oiseau se tait, creusez sa tombe… Le silence le fait mourir. Un papillon sur une branche
À l’ombre des arbres Comme au temps des miracles, Au milieu des hommes Comme la plus belle femme Sans regrets, sans honte,
Ce qui se dit : J’ai traversé la rue pour ne plus être au soleil. Il fait trop chaud, même à l’ombre. Il y a la rue, quatre étages et ma fenêtre au soleil. Une casquette sur la tête, un...
Ses yeux sont des tours de lumière… Sous le front de sa nudité. À fleur de transparence Les retours de pensées Annulent les mots qui sont sourds.
Les corbeaux battent la campagne La nuit s’éteint Pour une tête qui s’éveille Les cheveux blancs le dernier rêve Les mains se font jour de leur san…
Main dominée par le cœur Cœur dominé par le lion Lion dominé par l’oiseau L’oiseau qu’efface un nuage Le lion que le désert grise
Jours de lenteur, jours de pluie, Jours de miroirs brisés et d’aigui… Jours de paupières closes à l’hori… D’heures toutes semblables, jours… Mon esprit qui brillait encore sur…
La plate volupté et le pauvre myst… Que de n’être pas vu. Je vous connais, couleur des arbre… Entre nous est la transparence de… Entre les regards éclatants.
Toutes les femmes heureuses ont Retrouvé leur mari—il revient du s… Tant il apporte de chaleur. Il rit et dit bonjour tout douceme… Avant d’embrasser sa merveille.
Mes sommets étaient à ma taille J’ai roulé dans tous mes ravins Et je suis bien certain que ma vie… Mes amours ont poussé dans un jard… Mes vérités et mes erreurs
La nuit n’est jamais complète Il y a toujours puisque je le dis Puisque je l’affirme Au bout du chagrin une fenêtre ouv… Une fenêtre éclairée
Le soir traînait des hirondelles.… Partageaient le soleil et pesaient… Comme les pas jamais lassés d’un s… Plus pâle que nature et dormant to… Le soir trainait des armes blanche…
Avec des yeux pareils Que tout est semblable École de nu. Tranquillement Dans un visage délié
Bouches gourmandes des couleurs Et les baisers qui les dessinent Flamme feuille l’eau langoureuse Une aile les tient dans sa paume Un rire les renverse.
Si triste de ses faux calculs Qu’il inscrit ses nombres à l’enve… Et s’endort. Une femme plus belle Et n’a jamais trouvé,