Pauvres fleurs (1839)
#ÉcrivainsFrançais
Quand les cloches du soir, dans le… Feront descendre l’heure au fond d… Quand tu n’auras d’amis, ni d’amou… Pense à moi ! pense à moi ! Car les cloches du soir avec leur…
Te souvient-il, ô mon âme, ô ma vi… D’un jour d’automne et pâle et lan… Il semblait dire un adieu gémissan… Aux bois qu’il attristait de sa mé… Les oiseaux dans les airs ne chant…
Dans la foule, Olivier, ne viens… Sois là, mais sans parler, tâche d… Ta voix a des accents qui me font… Ne montre pas l’amour que je ne pu… D’autres yeux que les tiens me reg…
Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .
Il a parlé. Prévoyante ou légère, Sa voix cruelle et qui m’était si… A dit ces mots qui m’atteignaient… « Vous qui savez aimer, ne m’aimez… « Ne m’aimez pas si vous êtes sens…
Vous demandez si l’amour rend heur… Il le promet, croyez-le, fût-ce un… Ah ! pour un jour d’existence amou… Qui ne mourrait ? la vie est dans… Quand je vivais tendre et craintiv…
Douce Nuit, ton charme paisible Du malheureux suspend les pleurs ; Nul mortel n’est insensible À tes bienfaisantes erreurs. Souvent dans un cœur rebelle
Il avait dit un jour : « Que ne p… ( Elle, alors, c’était moi ! ) que… Ce bonheur entrevu qu’elle veut me… Son cœur paraît si tendre ; oh ! s… Puis, fixant ses regards sur mon f…
Puisque de l’enfance envolée Le rêve blanc, Comme l’oiseau dans la vallée, Fuit d’un élan ; Puisque mon auteur adorable
J’ai vu dans l’air passer deux ail… Est-ce pour moi que ce présage a l… J’entends chanter tout un nid dans… Trop de bonheur me menace aujourd’… Pour le braver je suis trop faible…
Vous aviez mon coeur, Moi, j’avais le vôtre : Un coeur pour un coeur ; Bonheur pour bonheur ! Le vôtre est rendu,
L’eau nous sépare, écoute bien : Si tu fais un pas, tu n’as rien. Voici ma plus belle ceinture, Elle embaume encor de mes fleurs. Prends les parfums et les couleurs…
Ah ! c… De pouvoir vivre ainsi loin de l’o… André Chénier. Malheur à moi ! je ne sais plus lu… Je ne suis plus le charme de ses y…
Oh ! que la nuit est lente ! De sa lueur tremblante, Elle attriste l’amour. J’entends gronder l’orage ; Il trouble mon courage.
Adieu pour toujours, Mes amours ; Ne pleure pas, Tes pleurs ont trop d’appas ! Presse encor ma main ;