#ÉcrivainsFrançais
Oh la terrible et surprenante odeu… meurt c’est l’été et pourtant les… Edmond chef de famille chef de bur… dans son pavillon de chef-lieu de… Il faut laver son linge sale en fa…
Tristes enfants perdus Nous errons dans la nuit. Où sont les fleurs du jour, Les plaisirs de l’amour. Les lumières de la vie ?
C’est un âne qui dort Enfants, regardez-le dormir Ne le réveillez pas Ne lui faites pas de blagues Quand il ne dort pas, il est très…
Où vas-tu beau geôlier Avec cette clé tachée de sang Je vais délivrer celle que j’aime S’il en est encore temps Et que j’ai enfermée
Dieu et c’est en pure perte que ses émissaires, ses commissaires, ses prêtres, ses directeurs de conscience, ses ingénieurs des âmes, ses maîtres à penser se sont évertués à me sauver. ...
Breton sont restés et le temps, ce qu’on appelle et interpelle le temps, n’a rien à voir ni à entendre là-dehors ou là-dedans. Jean est surréaliste, peu importe ou exporte depuis quand....
Concomitamment la muture concraite… abstrète vous donnent les belles c… ton du mélomane distingué. Ils font d’abord la sourde oreille… Un peu plus tard
Le maître d’hôtel noir est pendu après la suspension Il a osé jeté un regard dans le décolleté de la maîtresse de maison.
c’est un évêque qui est saoul et qui met sa crosse en il a sur la tête cette coiffure qu’on appelle mitre des préservatifs... des bouchons de liège... des mégots plaçant ensuite deux do...
Le décor représente une maison, un… — Oh, j’ai perdu ma femme ! chante e… inconsolable, hilare et désolé, ne… —
La porte que quelqu’un a ouverte La porte que quelqu’un a refermée La chaise où quelqu’un s’est assis Le chat que quelqu’un a caressé Le fruit que quelqu’un a mordu La lettre que quelqu...
Ceux qui plantent en rêve des tessons de bouteille sur la grande muraille de Ceux qui mettent un loup sur leur visage quand ils mangent du mouton Ceux qui volent des œufs et qui n’osent...
Les idées sont dans l’air, dans l’… L’air se liquéfie, l’eau s’alourdi… Perplexes, du haut de leur mirador… les commissaires-priseurs avec leur petit marteau d’ivoire
Dans les manèges du mensonge Le cheval rouge de ton sourire Tourne Et je suis là debout planté Avec le triste fouet de la réalité
Encore une fois sur le fleuve le remorqueur de l’aube a poussé son cri plonge sa grande main chaude dans le décolleté de la nuit et d’un coup lui arrache sa belle robe du soir les épouv...