#ÉcrivainsFrançais
Durement coquettement piquée dans la viande tendre de l’étal une rose rouge de papier hurle à la mort
Le petit homme qui chantait sans c… le petit homme qui dansait dans ma… le petit homme de la jeunesse a cassé son lacet de soulier et toutes les baraques de la fête
De deux choses lune l’autre c’est le soleil les pauvres les travailleurs ne vo… leur soleil c’est la soif la pouss… et s’ils travaillent en plein sole…
Le paon fait la roue le hasard fai… Dieu s’assoit dedans et l’homme le…
Celui-là, c’est le cheval qui vit tout seul quelque part très loin dans une ilé. Il mange un peu d’herbe ; derrière lui, il y a un bateau ; c’est le bateau sur lequel le cheval est venu...
Hier soir, au nouveau Vieux-Colombier, nous étions quelques-uns et non des moindres à nous réjouir de l’accueil fait à Ariane Masseur de Gabriel Marcel Prévôt des Marchands de sable à e...
Dans sa vie pré-natale une grand’mère de contes de fées l’appelait la petite Russe. Mais elle est née pour de vrai à Pékin en 1939, un an avant la naissance de Pierrot, son fils. Toute ...
Pays sans littoral villes sans ports îles entourées de terres de tous c… Gens d’Europe Centrale ou de lointains ailleurs…
L’amour est clair comme le jour l’amour est simple comme bonjour l’amour est nu comme la main c’est ton amour et le mien pourquoi parler du grand amour pourquoi chanter la grande vie ? ...
Tous les yeux d’une femme joués sur le même tableau Les traits de l’être aimé traqué par le destin sous la fleur immobile d’un sordide papier peint L’herbe blanche du meurtre dans une f...
Mouvement des navires mouvement de… Tu t’étais fait attendre pendant d… A la porte du Sept le garçon a frappé il m’a don… Mouvement des navires mouvement de…
A la pêche à la baleine, à la pêch… Disait le père d’une voix courrouc… A son fils Prosper, sous l’armoire allongé, A la pêche à la baleine, à la pêch…
Bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! Au-dessus de l’île on voit des ois…
Regarde le pauvre Vincent Foudroyé par son propre orage Qui s’écroule sur le carreau Couché dans son plus beau tableau Et l’orage s’en va calmé indifférent En roulant devant lui ses gra...
Sous le ciel bleu de Méthylène si grave était le chant des grives Et quand tous deux nous gravission… de l’escalier de la maison