Odelettes (1853)
#ÉcrivainsFrançais
Le vieux palais attend la princess… Qui des derniers Capets veut sauv… Charlemagne, attentif à ses pas tr… Crie à Napoléon que Charles-Quin… Mais deux rois à la grille attende…
Dans Sainte-Pélagie, Sous ce règne élargie, Où, rêveur et pensif, Je vis captif, Pas une herbe ne pousse
Au printemps l’oiseau naît et chan… N’avez-vous pas ouï sa voix ?... Elle est pure, simple et touchante… La voix de l’oiseau—dans les bois… L’été, l’oiseau cherche l’oiselle…
Eh quoi ! tout est sensible ! Pythagore. Homme, libre penseur ! te crois-tu… Dans ce monde où la vie éclate en… Des forces que tu tiens ta liberté…
L’hiver a ses plaisirs ; et souven… Quand un peu de soleil jaunit la t… Avec une cousine on sort se promen… —Et ne vous faites pas attendre po… Dit la mère. Et quand on a bien,…
Voici ce que je vis : Les arbres… Fuyaient mêlés, ainsi qu’une armée… Et sous moi, comme ému par les ven… Le sol roulait des flots de glèbe… Des clochers conduisaient parmi le…
Ô mes concitoyens, que notre histo… De quels récits brillants elle eni… Que de fois elle y va, par ses acc… D’un courage endormi réveiller l’é… Dans ses feuillets brûlants si l’œ…
Je suis le ténébreux,—le veuf,—l’i… Le prince d’Aquitaine à la tour a… Ma seule étoile est morte,—et mon… Porte le Soleil noir de la Mélanc… Dans la nuit du tombeau, toi qui m…
Non loin des rivages de France, Il est une île au sein des mers : C’est là que veille l’espérance Et le fléau de l’univers ; Et c’est là, qu’abusant du droit d…
Ah ! sous une feinte allégresse Ne nous cache pas ta douleur ! Tu plais autant par ta tristesse Que par ton sourire enchanteur À travers la vapeur légère
Vous avez des yeux noirs, et vous… Que le poète en vous voit luire l’… Dont s’anime la force et que nous… Le génie à son tour embrase toute… Il vous rend sa lumière, et vous ê…
Le temps, comme un torrent, roule… Rien n’échappe à l’effort de ses f… En vain quelques vieillards, sur l… Derniers et seuls débris qui reste… Roidissant contre lui leur effort…
Où sont nos amoureuses ? Elles sont au tombeau. Elles sont plus heureuses, Dans un séjour plus beau ! Elles sont près des anges,
Je pense à toi, Myrtho, divine en… Au Pausilippe altier, de mille fe… À ton front inondé des clartés d’O… Aux raisins noirs mêlés avec l’or… C’est dans ta coupe aussi que j’av…
Elle a passé, la jeune fille Vive et preste comme un oiseau À la main une fleur qui brille, À la bouche un refrain nouveau. C’est peut-être la seule au monde