Poésies livre III
#ÉcrivainsFrançais
Pour l’inviter à revenir de Prove… 1605. Quoi donc ! grande princesse, en l… Et que même le ciel est contraint… Vous avez résolu de nous voir deme…
Pour Henri le Grand, sous le nom… au sujet de l’absence de la prince… sous le nom d’Oranthe. 1609. Donc cette merveille des cieux,
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Il n’est rien de si beau comme Ca… C’est une oeuvre où Nature a fait… Et notre âge est ingrat qui voit t…
(Écrit à Fontainebleau, x<… 1608. Beaux et grands bâtiments d’éterne… Superbes de matière, et d’ouvrages…
(Pour le premier ballet de monseig… Dauphin, dansé au mois de janvier… Voici de ton État la plus grande m… Ce fils où ta vertu reluit si vive… Approche-toi, mon prince, et vois…
À la Reine Marie de Médicis. (Pendant sa régence.) 1611. Objet divin des âmes et des yeux, Reine, le chef-d’œuvre des cieux,
Sur un livre de fleurs qu’il avait… 1602 ou 1603. Quelques louanges nonpareilles Qu’ait Apelle encore aujourd’hui, Cet ouvrage plein de merveilles
STANCES. 1608. Laisse-moi, Raison importune, Cesse d’affliger mon repos, En me faisant mal-à-propos
STANCES. 1596. Enfin cette beauté m’a la place re… Qu’elle avait contre moi si longte… Mes vainqueurs sont vaincus ; ceux…
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Beauté de qui la grâce étonne la n… Il faut donc que je cède à l’injur… Que je vous abandonne, et loin de…
Au nom du roi Louis XIII. À l’occasion de la première guerre… 1614. Les funestes complots des âmes for… Qui pensaient triompher de mes jeu…
1619. Race de mille rois, adorable Prin… Dont le puissant appui de faveurs… Si faut-il qu’à la fin j’acquitte… Et m’allège du fait dont je suis a…
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…
N’espérons plus, mon âme, aux prom… Sa lumière est un verre, et sa fav… Que toujours quelque vent empêche… Quittons ces vanités, lassons-nous… C’est Dieu qui nous fait vivre,
Pour M. le duc de Bellegarde, à u… s’était imaginé qu’il était amoure… 1606. Philis, qui me voit le teint blême… Les sens ravis hors de moi-même,