Le cœur solitaire (1896)
#ÉcrivainsFrançais
Le jour blanc se levait à peine su… Des gouttes d’eau tintaient à mon… Je m’accoudai, tremblant de fièvre… De l’océan obscur et rauque et de… Sépulcre cimenté de plomb blême et…
Les cloches dans leurs tours égrèn… Mélancolique, par l’air d’une nuit… Or j’ai bu le poison aux yeux de l… Et j’ai peine à ne pas crier sous… Ô lourd ciboire où le damné se dés…
Que ton souffle renaisse, Eté des… Et ramène l’espoir et son divin co… Et ravive l’écho de mes pas sur la… Où le vol des corbeaux et des rêve… Car ma jeunesse s’empoussière aux…
J’ai dans l’âtre encore vide et sé… Des lettres où l’amour mentait, de… Hier âme odorante et gloire de l’é… Et d’anciens vers écrits jadis ave… Le feu, d’un arc subit, a décoché…
Mars. Un oiseau, fauvette ou griv… Chante amoureusement dans les feui… Et, transi de rosée encore, sèche… Au soleil dans le jeune azur et le… Les rosiers déterrés poussent des…
J’ai croisé sur la route où je vai… La Mort qui cheminait avec la Vol… L’une pour arme ayant sa faux inas… L’autre, sa nudité. Voyageur qui se traîne, ivre de la…
Quand, au matin, je vois tes persi… Doucement comme des paupières, Et toi-même accoudée au balcon en… Rose blanche, les vieilles pierres… Mon âme livre alors ses ailes au b…
Sois pure comme la rosée, Comme le ciel que tu reflètes ; Sois légère aux herbes brisées, Ame tremblante du poète. Colore-toi du sang de l’aube,
Que la nuit m’enveloppe et dorlote… De toute sa bonté, de toute sa dou… Que les flocons légers de la neige… S’enroulent comme au noir rouet la… La chambre est une tendre aïeule q…
Ma fenêtre était large ouverte sur… La maison reposant autour de moi s… J’écrivais, douloureux poète d’élé… A la clarté dansante et douce des… Un souffle d’air chargé des parfum…
J’étais couché dans l’ombre au seu… Un talus du chemin désert me sépar… J’écoutais s’écouler près de moi,… Une source qui sort d’une voûte d’… Par ce beau jour de juin brûlant e…
Du seuil de sa prison charnelle, l… Venir le soir ; porteur d’un messa… Il chemine vers elle et l’envelopp… De parfums, de tendresse, et d’omb… L’âme, attentive au pas du visiteu…
La maison serait blanche et le jar… De bruits d’eaux vives et d’oiseau… Et le lierre du mur qui regarde l’… Broderait d’ombres les rideaux Du lit tiède où, mêlés comme deux…
L’automne fait gronder ses grandes… Et célèbre le deuil des soleils ré… L’avare automne entasse aux rebord… Les vols de feuilles d’or que flag… Stérile et glacial reliquaire où s…
Ah ! le navrant sourire où monte u… Et nos cœurs douloureux et lourds… Détourne ton visage et laisse-moi.… Le pauvre enfant blotti sur ton se… Dérobe-moi tes yeux : les suprêmes…