Le coffret de santal (1873)
#ÉcrivainsFrançais
À Albert Tinchant. À notre époque froide, on ne fait… Loin des bois endormeurs et loin d… Les pauvres vont, cherchant ces so… Que cachent les banquiers, inquiet…
Sonnet. Un temple ambré, le ciel bleu, des… Des bois mystérieux ; un peu plus… Une cariatide eut un regard amer Et dit : « C’est ennuyeux de vivr…
Sonnet. Les coquelicots noirs et les bleue… Dans le foin capiteux qui réjouit… La lettre jaunie où mon aïeul resp… À mon aïeule fit des serments sura…
Sonnet. Beau corps, mais mauvais caractère… Elle ne veut jamais se taire, Disant, d’ailleurs d’un ton charma… Des choses absurdes vraiment.
Je suis inutile et je suis nuisibl… Ma peau a les tons qu’il faut pour… Valets au pouvoir public attachés, Tirez, tirez donc, honnêtes archer… La première flèche a blessé mon ve…
À Adolphe Willette. Pour plus d’agilité, pour le loyal… Les témoins ont jugé qu’Elles se… Les causes du combat resteront inc… Les deux ont dit : « Motif tout i…
Le rythme argentin de ta voix Dans mes rêves gazouille et tinte. Chant d’oiseau, bruit de source au… Qui réveillent ma joie éteinte. Mais les bois n’ont pas de frisson…
Sonnet. Si mon âme claire s’éteint Comme une lampe sans pétrole, Si mon esprit, en haut, déteint Comme une guenille folle,
Fragment. C’est moi seul que je veux charmer… Les rêves bienheureux que me dicte… Les souvenirs que j’ai des baisers… De ses yeux, ciels troublés où le…
Je n’ai pas d’ami, Ma maîtresse est morte. Ce n’est qu’à demi Que je le supporte. Peut-on vivre seul ?
J’ai rêvé les amours divins, L’ivresse des bras et des vins, L’or, l’argent, les royaumes vains… Moi, dix-huit ans, Elle, seize an… Parmi les sentiers amusants
À Henri Mercier. Avec les fleurs, avec les femmes, Avec l’absinthe, avec le feu, On peut se divertir un peu, Jouer son rôle en quelque drame.
Sonnet. J’écris ici ces vers pour que, le… À tous les rêves bleus que font le… Vous laissiez sur vos yeux, placid… Tournoyer ma pensée et s’y mouille…
Le bleu matin Fait pâlir les étoiles. Dans l’air lointain La brume a mis ses voiles. C’est l’heure où vont,
À André Gill. Sous un roi d’Allemagne, ancien, Est mort Gottlieb le musicien. On l’a cloué sous les planches. Hou ! hou ! hou !