#LesFleursDuMal #ÉcrivainsFrançais
Lorsque, par un décret des puissan… Le Poète apparaît en ce monde enn… Sa mère épouvantée et pleine de bl… Crispe ses poings vers Dieu, qui… —« Ah ! que n’ai-je mis bas tout u…
Ils me disent, tes yeux, clairs co… « Pour toi, bizarre amant, quel es… —Sois charmante et tais-toi ! Mon… Excepté la candeur de l’antique an… Ne veut pas te montrer son secret…
Ils marchent devant moi, ces Yeux… Qu’un Ange très savant a sans dou… Ils marchent, ces divins frères qu… Secouant dans mes yeux leurs feux… Me sauvant de tout piège et de tou…
Souvent à la clarté rouge d’un rév… Dont le vent bat la flamme et tour… Au coeur d’un vieux faubourg, laby… Où l’humanité grouille en ferments… On voit un chiffonnier qui vient,…
À la très chère, à la très belle Qui remplit mon coeur de clarté, À l’ange, À l’idole immortelle, Salut en l’immortalité ! Elle se répand dans ma vie
Le poète au cachot, débraillé, mal… Roulant un manuscrit sous son pied… Mesure d’un regard que la terreur… L’escalier de vertige où s’abîme s… Les rires enivrants dont s’emplit…
On dirait ton regard d’une vapeur… Ton oeil mystérieux (est-il bleu,… Alternativement tendre, rêveur, cr… Réfléchit l’indolence et la pâleur… Tu rappelles ces jours blancs, tiè…
Dans des terrains cendreux, calcin… Comme je me plaignais un jour à la… Et que de ma pensée, en vaguant au… J’aiguisais lentement sur mon coeu… Je vis en plein midi descendre sur…
Andromaque, je pense à vous ! Ce… Pauvre et triste miroir où jadis r… L’immense majesté de vos douleurs… Ce Simoïs menteur qui par vos ple… A fécondé soudain ma mémoire ferti…
II est de forts parfums pour qui… Est poreuse. On dirait qu’ils pén… En ouvrant un coffret venu de l’O… Dont la serrure grince et rechigne… Ou dans une maison déserte quelque…
Quand le ciel bas et lourd pèse co… Sur l’esprit gémissant en proie au… Et que de l’horizon embrassant tou… II nous verse un jour noir plus t… Quand la terre est changée en un c…
Race d’Abel, dors, bois et mange… Dieu te sourit complaisamment. Race de Caïn, dans la fange Rampe et meurs misérablement. Race d’Abel, ton sacrifice
Dans une terre grasse et pleine d’… Je veux creuser moi-même une fosse… Où je puisse à loisir étaler mes v… Et dormir dans l’oubli comme un re… Je hais les testaments et je hais…
Je suis belle, ô mortels ! comme u… Et mon sein, où chacun s’est meurt… Est fait pour inspirer au poète un… Eternel et muet ainsi que la matiè… Je trône dans l’azur comme un sphi…
Voici venir les temps où vibrant s… Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un… Les sons et les parfums tournent d… Valse mélancolique et langoureux v… Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un…