#ÉcrivainsFrançais
O sommets de Taygète, ô rives du… De la sombre Tempé vallons silenc… Ô campagnes d’Athène, ô Grèce inf… Où sont pour t’affranchir tes guer… Doux pays, que de fois ma muse en…
Toi, qui n’as rien connu, dans ton sanglant passage, Dieu mortel, sous tes pieds les monts courbant leurs têtes Et, debout sur l’airain de leurs foudres guerrières, « Conservez, disaien...
O femme, que veux-tu ? – Parthéno… –Quel est ton crime ? – Aucun. –… –Quels sont tes ennemis ? – Ceux… Hier on m’adorait, aujourd’hui l’o… –Comment dois-tu payer mon hospita…
Comme un vain rêve du matin, Un parfum vague, un bruit lointain… C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire ; Lieux qu’à peine vient éclairer
« Le soleil a paru : sa clarté men… Du fer des boucliers jaillit en lo… Les guerriers sont debout, immobil… Ils pressent de leurs dents leur l… Tous, pleins d’un vague effroi qu’…
J’admirais ses débris, ses longs portiques sombres, Tous ces grands monuments empruntaient de leurs ombres « Rome, pour la dernière fois « Je parcours ta funèbre enceinte : « Inspire le...
Le flot qui vient blanchir les restes du port Jule Couvre de ses flancs noirs les pointes de Misène ; « Ils parlent à mes yeux, ils enchaînent mes pas. « Ces lentisques flétris dont la ...
A vous, puissans du monde, à vous,… Qui tenez dans vos mains et la pai… À vous de décider si lassés de sou… Les grecs ont pris le fer pour vai… Si du Tage au Volga, de la Tamis…
Ils ne sont plus, laissez en paix… Par d’injustes clameurs ces braves… À se justifier n’ont pas voulu des… Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défe…
Que la brise des mers te porte mes… O France, je te quitte ; adieu, F… Adieu, doux ciel natal, terre où j… Adieu, patrie ! adieu, patrie ! Il tombe, ce mistral, dont le souf…
« En Europe ! en Europe !-Espére… « –Trois jours, leur dit Colomb,… Et son doigt le montrait, et son o… Perçait de l’horizon l’immensité p… Il marche, et des trois jours le p…
Mon bien-aimé, dans mes douleurs, Je viens de la cité des pleurs, Pour vous demander des prières. Vous me disiez, penché vers moi : « Si je vis, je prîrai pour toi. »
Vénus, ô volupté des mortels et de… Ame de tout ce qui respire, Tu gouvernes la terre, et les mers… Tout l’univers reconnaît ton empir… Des êtres différens les germes pré…
Le voilà, ce vieux môle où j’errai… Ainsi grondaient alors les rafales… Quand aux pâles clartés des fanaux… Si tristes à minuit, Le flux, en s’abattant pour envahi…
Nos malheurs trop fameux proclament ta puissance ; Tes jeux furent sanglans dans notre belle France ; Le peuple mieux instruit, mais trop fier de ses droits, C’est qu’ils ne vivent plus...