Poésies posthumes (1888)
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Yung-Frau, le voyageur qui pourra… S’arrêter, et poser le pied sur sa… Sentirait en son coeur un noble ba… Quand son âme, au penchant de ta n… Pareille au jeune aiglon qui passe…
Elle a mis, depuis que je l’aime (Bien longtemps, peut-être toujour… Bien des robes, jamais la même ; Palmire a dû compter les jours. Mais, quand vous êtes revenue,
L’empereur vit, un soir, le soleil… Il courba son front triste, et res… Puis, comme il entendit ses horlog… Qu’il venait d’accorder, d’un pied… Il pensa qu’autrefois, sans avoir…
Sonnet. Je vous ai vue enfant, maintenant… Fraîche comme une rose et le cœur… Je vous ai vu bambin, boudeur et p… Vous aimiez lord Byron, les grand…
(Chanson.) Quand on perd, par triste occurren… Son espérance Et sa gaieté, Le remède au mélancolique,
(Vers écrits au-dessous d’une tête… Qui que tu sois, je t’en conjure, Mets ton lit de l’autre côté. Ne traîne pas ta couverture Sur le sein déjà maltraité
Heureux le voyageur que sa ville c… Voit rentrer dans le port, aux pre… Qui salue à la fois le ciel et la… La vie et le bonheur, le soleil et… —Regardez, compagnons, un navire s…
Le poète. Du temps que j’étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s’asseoir
Ulric, nul oeil des mers n’a mesur… Ni les hérons plongeurs, ni les vi… Le soleil vient briser ses rayons… Comme un soldat vaincu brise ses j… Ainsi, nul oeil, Ulric, n’a pénét…
Lorsque la coquette Espérance Nous pousse le coude en passant, Puis à tire-d’aile s’élance, Et se retourne en souriant ; Où va l’homme ? Où son coeur l’ap…
Voltaire, ombre auguste et suprême… Roi des madrigaux à la crème Des vermillons et des paniers Assis au pied de ta statue, Je me disais : « Qu’est devenue
Puisque votre moulin tourne avec t… Allez, braves humains, où le vent… Jouez, en bons bouffons, la comédi… Je vous ai trop connus pour être d… Ne croyez pourtant pas qu’en quitt…
J’étais seul, l’autre soir, au Th… Ou presque seul ; l’auteur n’avait… Ce n’était que Molière, et nous s… Que ce grand maladroit, qui fit un… Ignora le bel art de chatouiller l…
Sonnet. Béatrix Donato fut le doux nom de… Dont la forme terrestre eut ce div… Dans sa blanche poitrine était un… Et dans son corps sans tache un es…
(Écrit à l’âge de quatorze ans.) Après un si joyeux festin, Zélés sectateurs de Grégoire, Mes amis, si, le verre en main Nous voulons chanter, rire et boir…