Poésies posthumes (1888)
#ÉcrivainsFrançais
A quoi passer la nuit quand on sou… Ainsi, le verre en main, raisonnai… Quels entretiens choisir, honnêtes… Mais gais, tels qu’un vieux vin le… Rodolphe
Le poète. Du temps que j’étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s’asseoir
Déesse aux yeux d’azur, aux épaule… Belle muse païenne au sourire ador… Viens, laisse-moi presser de ma lè… Ton front qui resplendit sous un p… Vois-tu ce vert sentier qui mène à…
Vous connaissez que j’ai pour mie Une Andalouse à l’oeil lutin, Et sur mon coeur, tout endormie, Je la berce jusqu’au matin. Voyez-la, quand son bras m’enlace,
Toi qui me l’as appris, tu ne t’en… De tout ce que mon coeur renfermai… Quand, dans nuit profonde, ô ma be… Je venais en pleurant tomber dans… La mémoire en est morte, un jour t…
Beau chevalier qui partez pour la… Qu’allez-vous faire Si loin d’ici ? Voyez-vous pas que la nuit est pro… Et que le monde
Si tu ne m’aimais pas, dis-moi, fi… Que balbutiais-tu dans ces fatales… Exerçais-tu ta langue à railler ta… Que voulaient donc ces pleurs, cet… Ces sanglots et ces cris ?
(Vergiss mein nicht) (Paroles faites sur la musique de… Rappelle-toi, quand l’Aurore crai… Ouvre au Soleil son palais enchan… Rappelle-toi, lorsque la nuit pens…
J’étais seul, l’autre soir, au Th… Ou presque seul ; l’auteur n’avait… Ce n’était que Molière, et nous s… Que ce grand maladroit, qui fit un… Ignora le bel art de chatouiller l…
Il ne faudrait pourtant, me disais… Qu’une permission de notre seigneu… Pour qu’il vînt à passer quelque f… Les bosquets sont déserts ; la cha… Les vents sont à l’amour l’horizon…
Puisque c’est ton métier, misérabl… Même en ces temps d’orage, où la b… Tandis que le bras parle, et que l… Disparaît comme un songe au bruit… Puisque c’est ton métier de faire…
Telle de l’Angelus, la cloche mat… Fait dans les carrefours hurler le… Tel ton luth chaste et pur, trempé… Ô George, a fait pousser de hideux… Mais quand les vents sifflaient su…
Jamais, avez-vous dit, tandis qu’a… Résonnait de Schubert la plaintiv… Jamais, avez-vous dit, tandis que,… Brillait de vos grands yeux l’azur… Jamais, répétiez-vous, pâle et d’u…
Je méditais, courbé sur un volume… Les dogmes de Platon et les lois… Je voulus de la vie essayer le far… Aussi bien, j’étais las des loisir… Et j’entrai, sur les pas de la bel…
Chanson. Mimi Pinson est une blonde, Une blonde que l’on connaît. Elle n’a qu’une robe au monde, Landerirette !