Qui donc fera fleurir toute la pau… Quand Jésus a quitté le ciel, il… Pour une étable ; il est charpenti… Né sur l’or, mais sur l’or mystiqu… Entre l’âne et bœuf, l’ignorance e…
Je ne sais pas si je préférais la braise de ses tempes ou les flammes de sa tignasse qui brûlaient tout en montant en haut de sa tête de Méduse masculine purement enchantée. Les chenets...
Parfois, de bien excitants rêves s… La nuit, quand j’ai sommeil et dor… Je te vois alors, déesse de renomm… Je me trouve en chaleur, et ma rai… Sans tarder je te prends vivement…
Il ne faut plus courir à travers l… Enfant, ni sans congé vous hasarde… Vous êtes très petit, et vous avez… Que l’on vous aide encore à dire v… Que feriez-vous aux champs, si vou…
Cette voix silencieuse, à un charme inquiétant, elle erre en moi tel un revenant, c’est insensé, je ne sais comment j’ai perdu mon…
Tableau VIII. Un bosquet, une jeune femme ; À ses genoux un séducteur Qui jure une éternelle flamme, Et qu’elle écoute sans rigueur ;
Puis Stéphy est partie, dans la n… Elle a roulé aux vents, sans son t… Je pense qu’elle l’a eu, j’espère,… Je l’aurais hébergé, c’est bizarre… Mais je vais m’acharner, savoir qu…
Sonnet. Gisant à plat dans la pierraille, Veuve à jamais du pied humain, L’échelle, aux tons de parchemin, Pourrit au bas de la muraille.
Je vends mon vent !!... *** Ahmed Khettaoui / Algérie. **** Je vends mon vent à mes sorcières…
J’ai sauté très haut, je me retrouve sur un petit nuage, Ça me rend heureux.
Les corps humides s’amassent sur l… Les larmes souillent le sol de la… Dans laquelle ils ne reviendront s… Les lamentations ennuient les étoi… La musique soudainement se charge…
Un soir plein de pourpres et de fl… Pourrit, par au-delà des plaines d… Et fortement, avec les poings de s… Sur l’horizon verdâtre, écrase des… Saison massive ! Et comme Octobre…
(Pour les hommes.) Si tu te plains que ta femme est t… L’ayant gardée trois semaines en t… Attends un an, et tu perdras à cou… L’occasion de t’en plaindre à pers…
Fable VII, Livre III. « Au diable soient les étourdis Qui m’ont fait une horrible tache… Qu’ai-je dit, une ? en voilà dix ; Et c’est à mon velours pistache !…
En la forest d’Ennuyeuse Tristess… Un jour m’avint qu’a par moy chemi… Si rencontray l’Amoureuse Deesse Qui m’appella, demandant ou j’aloy… Je respondy que, par Fortune, est…
À qui vierge me gardera : La richesse. À qui bien parler me fera : La sagesse. À quiconque me violera :
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Ô peuples ! Savez-vous (c’est l’op… Qu’au sein de vos cités râle une o… Minuit sonne, écoutez ! C’est l’h… Où des vieillards quinteux, couron… Vont d’un pas chancelant assouvir…
À chaque jour suffit sa peine ; Mais ôte, avant le soir venu, Le plus possible à l’inconnu, Car chaque jour sa tâche amène : Fais tout ce qu’aujourd’hui tu peu…
Corps. Berceau de mon âme, Là où se loge ce feu ardent Qui me pousse au courage Corps.
Sonnet. C’était un vrai petit voyou, Elle venait on ne sait d’où, Moi, je l’aimais comme une bête. Oh ! la jeunesse, quelle fête.
Nous nous sommes rencontrés, alors… Océan de fierté, un bateau emporté… un radeau accosté, par de multiple… A la fois dépecer, sans aucune des… et complètement brisé, une bienvei…
Allons-y chers aventuriers À la découverte du monde À la conquête de votre curiosité Pour se mêler à la différence. Des langues
Le papillon, là-bas, au loin, brille d’un dernier rire parfumé. Ruissellement diamantin de souffle… Bal et épi solaire. L’or à grains se lève,
Dieu, dans sa sagesse profonde, A-t-il tout créé par sa voix, Ou si le hasard seul au monde Impose aveuglement ses lois ? Pour te délivrer de ce doute,
Nue complètement nue, enfouie . Sous les draps bleus .. ma muse L… Mes mains velues te caressent . Les seins doux et les roses fesses… Le rayon de lune traverse la crois…
Mon cœur glacé Après de si longs moments passés a… Mon cœur est à présent seul et fro… Tu l’a laissé comme un misérable, Abandonné à un sort bien exécrable…
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Le soir Il y a des bras dans la rue qui s’… Des mains dans le jardin Des plaies qui saignent Il y a des murmures dans le vent
Sonnet. En ces heures souvent que le plais… Causant d’un livre à lire et des r… Ou me parlant déjà de mes prochain… Suspendue à mon cou, tu me dis :…