Mère, quel doux chant me réveille… Minuit ! c’est l’heure où l’on som… Qui peut, pour moi, venir si tard Veiller et chanter à l’écart ? Dors, mon enfant, dors ! c’est un…
Qui donne sans prendre Sans rien apprendre ? Qui octroie de la valeur à un gest… Qui est immodeste ? Quel maître de l’équilibre
Sonnet. Pascal ! pour mon salut à quel die… —Tu doutes ? crois au mien, c’est… Il est ou non : forcé d’avouer l’u… Parie. À l’infini court la rouge o…
De violette et de cinname, De corail humide et rosé, De marbre vif, d’ombre et de flamm… Est suavement composé Ton joli petit corps de femme.
Sur l’aire, dont on a brûlé l’herb… Qui poussèrent, tout l’an, entre l… Et dont un parapet décrépi fait le… Dès juillet, sous l’azur torride d… On étale l’amas des gerbes déliées…
Sonnet. Les lignes du labour dans les cham… Fatiguent l’œil, qu’à peine un toi… Et la voûte du ciel tout entière a… Bornant d’un cercle nu la plaine m…
À M. Plasschaert. Qui, e… À l’auteur de La Feuille... en Eu… Auteur aimable autant qu’utile, Votre livre m’est parvenu ;
À lutter contre toi d’où vient que… Ô sang celte qui bats en ma veine… Si, pour rendre à ton flot sa nati… Il m’a suffi de voir au fond du cr… Comme au fond d’un immense et brum…
Sur le bord d’un canal profond don… Dorment, de nénuphars et de bateau… Avec ses toits aigus, ses immenses… Ses tours au front d’ardoise où ni… Ses cabarets bruyants qui regorgen…
Un soir, je vis une hirondelle Descendre du haut du ciel bleu Et s’élancer à tire d’aile Sous les absides du saint lieu. Et depuis, dans les vapeurs blanch…
Mère, ouvre le rideau ! le soleil… Vient jeter sur mon lit ses rayons… Ce jour vient de ma nuit chasser l… Il fait si doux, si pur un matin d… On voit les monts neigeux par-dess…
On venait de sortir de l’église ;… Les hommes se groupaient, lents, l… Entrant au cimetière, aux derniers… Les femmes rabattaient leur grand… Deux vieux—large chapeau, veste co…
Toujours des mots !—Je veux les c… Toujours des faits !—Je veux les… Toujours les corps !—Je veux l’es… Toujours l’esprit !—Montrez-moi l… L’âme qui pleure ou l’âme qui sour…
Enfin échappé du danger Où mon sort me voulut plonger, L’expérience indubitable Me fait tenir pour véritable Que l’on commence d’être heureux
Idole et charme de ma vie, Tu sais endormir tous mes maux ; Tu sais me rendre le repos De mon enfance évanouie. Lorsque mon cœur est languissant,
Blokusine est ton gris sans chemin de traverse Des panneaux qu’on écorce de bois et vitres sur la mer Jetée en veux-tu des mâts
Les ailleurs d’un délire **** Ahmed Khettaoui/ Algérie **** Pourquoi lorsque je déterre mes dr…
Les joncs frémissent à peine Sous le doux vent échappé Des champs de trèfle coupé Dans les lointains escarpés. Calmes sous la pure haleine,
Sous la treille, à midi, pendant q… Repose, et que les blés, jusques à… Sous ce vent frais et doux qui cha… Roulent comme des flots attirés pa… L’un près de l’autre assis, tous d…
Fable V, Livre II. Plus galant que sensé, Colin voul… Réunir dans son champ l’agréable à… Et cultiver les fleurs au milieu d… Rien n’était, à son gré, plus sage…
En ce temps-là, je me rappelle Que je ne pouvais concevoir Pourquoi, se pouvant faire belle, Ma mère était toujours en noir. Quand s’ouvrait le bahut plein d’o…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Seule, en un coin de terre où plan… Et le mélancolique et vague ennui… La vieille maison blanche, aux gra… Pleure-t-elle ses gens, son hôte,… Avec sa porte close et ses carreau…
A Eulalie Tu quittes ta douce patrie ; Mais c’est pour suivre un tendre é… Qu’importe où s’écoule la vie, Lorsque l’amour est avec nous ?
Le cortège léger glisse aux plaine… Une rose lueur teinte le flot chan… C’est la jeune Amphitrite, en sa… Qui passe sur la mer avec ses Nér… L’archipel a surgi vers les lointa…
Ô poète, il le faut, honorons la M… Mais ne l’honorons point d’une ami… Et gardons d’offenser, pour des pl… L’Amour, qui se souvient, et se v… Notre âme est trop souvent comme c…
Un dernier mot, Pascal ! À ton to… Pousser aussi ma plainte et mon cr… Je vais faire d’horreur frémir ta… Mais du moins j’aurai dit ce que j… À plaisir sous nos yeux lorsque ta…
Il cache des rêves fanés au pied d… Fatigué et meurtri, à grands coups… Dans sa chambre éclairée par le so… Sur le papier, il signe comme le p… Sur la chaise, il se pose, la tête…
Sonnet. Je passerai l’été dans l’herbe, su… La nuque dans les mains, les paupi… Sans mêler un soupir à l’haleine d… Ni troubler le sommeil léger des c…
Fable XVI, Livre II. Je ne sais quel despote aperçoit s… Le nez sur le carreau, dans la fan… Jeune et prince, à juger il était… « La mort, la mort au téméraire