Où iront-ils chercher tout ce qu’i… Le ciel plisse son front Prépare une tempête Les autres sont là pour la fête Et les astres tendent des fils
Fable V, Livre II. Plus galant que sensé, Colin voul… Réunir dans son champ l’agréable à… Et cultiver les fleurs au milieu d… Rien n’était, à son gré, plus sage…
Madrigal. Du palais d’émeraude où la riche n… M’a fait naître et régner avecque… Je viens pour adorer la divine bea… Dont le soleil n’est rien qu’une f…
La guitare amoureuse et l’ardente… Pleurent de volupté, de langueur e… Sous l’arbre où le soleil dore l’h… Et devant le mur bas et chaud de l… Semblables à des fleurs qui trembl…
L’eau coulait au bord des prés, Loin de nos mélancolies. —Les gazons sont diaprés. Toutes les fleurs sont jolies. Tu te souviens, les oiseaux
Gay passions .. Je suis gay passions . J adore les beaux garçons . Le plaisir de me faire sodomisé . Dans les bars cafés .
Va dire, Amour, ce qui cause ma p… A mon seigneur, que je m’en vais m… Et, par pitié, venant me secourir, Qu’il m’eût rendu la Mort moins i… A deux genoux je demande merci.
Sur le vieux pont verdi de mousse, Et tout rongé de lichens roux, Deux amants parlaient à voix douce… Et c’était nous ! Lui, penché tendrement vers elle,
Dans le palais, hier Bilain Voulait gager contre Ménage Qu’il était faux que Saint Sorlin Contre Arnauld eût fait un ouvrag… Il en a fait, j’en sais le temps,
Article sur le journal . Le grec Enée .. c est le premier… Qui as quitté la ville en flammes… Hier .. il as prit la route du bon… C était le grand héros .. le marin…
À Madame M. Au milieu du sang, au milieu du fe… Votre âme limpide, ainsi qu’un cie… Répand sa rosée en fraîches parole… Sur nos cœurs troublés, mourantes…
D’un doute périlleux ton cœur est… Je le vois, et, si Dieu ne te prê… Je crains qu’à l’ennemi ta faibles… Des deux sentiers ouverts lequel c… Ton corps formé pour plaire est pa…
Je suis dans ma maison chérie D’où je vois les jours s’écouler ; Tour à tour soleil, brume, pluie Vont rire, fondre et s’envoler. Ah ! que de soirs dont je recueill…
Ta pâle chevelure ondoie Parmi les parfums de ta peau Comme folâtre un blanc drapeau Dont la soie au soleil blondoie. Las de battre dans les sanglots
Dieu, c’est la beauté, Dieu, beau… Dans le buisson de flamme à son pe… Aux lèvres de Moïse, aux lèvres d… Et ses discours profonds sont clai… Son livre est un chœur vaste où D…
Inexplicable cœur, énigme de toi-m… Tyran de ma raison, de la vertu qu… Ennemi du repos, amant de la doule… Que tu me fais de mal, inexplicabl… Si l’horizon plus clair me permet…
Grâce éternelle Comparable à une étoile qui brille… Belle, que Dis-je, merveilleuse e… D’un amour toujours bienveillant e… Je mesure avec émoi son immense va…
Eveillez-vous, échos de la patrie, Retentissez à nos joyeux refrains… Chants exhalés de notre âme attend… Envolez-vous jusqu’à des cieux ser… N’envions plus à quelque autre riv…
Je suis venu à l’existence, nu mai… avec innocence et inconscient, baigné du sang de ma mère, les vieux m’ont entendu pleurer et… Je ne suis pas venu dans cette sph…
David, brûlé de pures flammes, Dans un chant aux notes divines, Pour faire soupirer deux âmes Croise des rimes féminines. La Volupté ravie embrase
C est les Feuillets de l auteur… C est la rubrique du journal Donn… C est le plan des bals camps . Le conflit armé vient d apporter l… Par l empereur rouge et arrogant…
C est le journal Corporama . Le plaisir des yeux et des mains… J adore branler quelques queues . J aime la bonne bite en érection… Pour mieux sucer le gland crémeux…
Une eau vive étincelle en la forêt… Dérobée aux ardeurs du jour ; Et le roseau s’y ploie, et fleuris… L’hyacinthe et la violette. Ni les chèvres paissant les cytise…
L’Aigle donnait la chasse à maîtr… Qui droit à son terrier s’enfuyait… Le trou de l’Escarbot se rencontr… Je laisse à penser si ce gîte Etait sûr ; mais ou mieux ? Jean…
Ami, partez sans émoi ; l’Amour v… Pour faire fête à votre belle hôte… Vous dites donc qu’on aura cette n… Souper au vin du Rhin, grande lie… Et cotillon chez une poétesse.
Bonjour, Suzon, ma fleur des bois… Es-tu toujours la plus jolie ? Je reviens, tel que tu me vois, D’un grand voyage en Italie. Du paradis j’ai fait le tour ;
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Pourquoi de tes regards percer ain… Baisse, oh ! baisse tes yeux plein… Baisse-les, ou je meurs. Viens plutôt, lève-toi ! Mets ta… Que mon bras arrondi t’entoure et…
Un fanfaron, amateur de la chasse, Venant de perdre un chien de bonne… Qu’il soupçonnait dans le corps d’… Vit un berger. « Enseigne-moi, de… De mon voleur, lui dit-il, la mais…
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb