Il y a sur la plage quelques flaqu… Il y a dans les bois des arbres fo… La neige fond dans la montagne Les branches des pommiers brillent… Que le pâle soleil recule
Dans le parc du vieux château Je marche lentement Pour profiter de ces courts instan… Qui me restent encore Mes pas crissent sur les cailloux
Il était une fois l’histoire d’une femme que je vais vous évoquer... C’était ma grand-mère ! Moi-même et mes sœurs ont connu et apprécié la profonde affection qu’elle nous donnait, avan...
Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville ; Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? Ô bruit doux de la pluie
C c’est un poème court . Le poète Alain vient de jouir sou… Tu vois l ami .. il vient de pomp… Plus tard, sous l olivier .. un c… Epais dans l anus du poète Alain…
Dans une boite de paille tressée Le père choisit une petite boule d… Et il la jette Dans la cuvette Devant ses enfants intrigués
Notre Père qui êtes aux cieux Restez-y Et nous nous resterons sur la terr… Qui est quelquefois si jolie
Tu ne reverras plus Les vaches dans les prés C’était toute la vie Ta vie qui est passée Avec leurs gros yeux ronds
Beaucoup d’eau a passé sous les po… et puis aussi énormément de sang Mais aux pieds de l’amour coule un grand ruisseau blanc Et dans les jardins de la lune
Je te regarde et le soleil grandit Il va bientôt couvrir notre journé… Éveille-toi cœur et couleur en têt… Pour dissiper les malheurs de la n… Je te regarde tout est nu
Nice, trop petite naguère, S’agrandit, libre de tout mur, Ni port marchand, ni port de guerr… Toute blanche au bord de l’azur. Nice a pour orgueil d’être blanche
C’est un Breton qui revient au pays natal Après avoir fait plusieurs mauvais… Il se promène devant les fabriques… Douarnenez
Où je vais, d’où je viens. Pourquoi je suis trempée. Voyons, ça se voit bien. Il pleut. La pluie, c’est de la pluie
Trouver la vérité, est la quête ét… Chercher à retrouver, les lois imm… Emprunter le sentier, des migratio… Atteindre son destin, une rencontr… Après tant d’analyse, un échange s…
L’effort humain n’est pas ce beau jeune homme sour… debout sur sa jambe de plâtre ou de pierre et donnant grâce aux puérils artif…
Elle se lâche .. la bite . Salut l artiste Alain . J adore les beaux glands crémeux… J adore sucer la queue coquine . J adore avaler le sperme .. le la…
Mon père, ce héros au sourire si d… Suivi d’un seul housard qu’il aima… Pour sa grande bravoure et pour sa… Parcourait à cheval, le soir d’une… Le champ couvert de morts sur qui…
C’est l Épilogue d Août . C’est un article sur le journal S… Les choses avancent et ça commence… Des arguments solides pour changer… Des paysages et la demeure .
Oranges des orangers citrons des c… Mystères fastueux et journaliers La vie est belle je me tue à vous le dire dit la fleur
Si c’est aimer, Madame, et de jou… Rêver, songer, penser le moyen de… Oublier toute chose, et ne vouloir… Qu’adorer et servir la beauté qui… Si c’est aimer que de suivre un bo…
Il existe près des écluses Un bas quartier de bohémiens Dont la belle jeunesse s’use À démêler le tien du mien En bande on s’y rend en voiture,
Une fille nue nage dans la mer Un homme barbu marche sur l’eau Où est la merveille des merveilles Le miracle annoncé plus haut ?
Je suis Seigneur Le petit grain de sable Que tu tournes et retournes Dans le creux de ta main. Taillé, poli par l’âge,
Le tendre et dangereux visage de l… C’était peut-être un archer avec s… Je ne sais plus Je ne sais rien Tout ce que je sais c’est qu’il m’…
Rue de Seine DIX heures et demie le soir au coin d’une autre rue un homme titube... un homme jeune
Je marche dans les rues sans but, Sans savoir où je vais, Errant comme une âme perdue Dans ce monde qui m’effraie. Je regarde les gens passer,
Peindre d’abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose de joli quelque chose de simple
A jeun perdue glacée Toute seule sans un sou Une fille de seize ans Immobile debout Place de la
Assise, la fileuse au bleu de la c… Où le jardin mélodieux se dodeline… Le rouet ancien qui ronfle l’a gri… Lasse, ayant bu l’azur, de filer l… Chevelure, à ses doigts si faibles…