Le major est couché sur le potager… La chose passe sur les monts glori… Mes lèvres sucent le jus arrosé. Ta main caresse le gland crémeux. J ai besoin de la chaleur de ton c…
La nuit avec ses mains d’insidieux… Jumelle du néant sardonique et bla… Hier, la nuit, qui tient le sarcas… Délaya dans mon cœur la morgue et… Alphabet primitif, simple mnémotec…
Le 21 novembre .. le poète est pa… Pour une hernie abdominale . Je ne suis pas encore mort .. je… Qui peut terrasser un battant . Beaucoup de personnes dans les cou…
Sonnet XLII. Auprès de ce beau teint, le lys en… Le lait est basané auprès de ce be… Du cygne la blancheur auprès de vo… Et celle du papier où est votre lo…
Ce n’est pas moi qui dois pleurer, Et ce n’est pas moi qu’il faut pla… Je puis encore t’adorer ; L’oubli ne saurait pas m’atteindre… C’est toi, bientôt, qui t’en iras,
Un monde corrompu Dans sa bonté infinie, encore et t… Dieu observe l’homme, l’objet de s… L’homme qu’il a créé dont il reçoi… Sur un terre malmenée où il sème l…
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés
C’est Marivône Le Guînver, Avec ses coiffes de batiste, C’est Marivône Le Guînver Qui passe sa vie à rêver. Marivônic, Dieu vous assiste
Comme bercée en un hamac La pensée oscille et tournoie, À cette heure où tout estomac Dans un flot d’absinthe se noie. Et l’absinthe pénètre l’air,
Elle est bâtie en terre, et la sau… Orne un faite croulant ; toiture m… Il en sort, le matin, une lente fu… (Voyez) belle au soleil, blanche e… Le clair ruisseau des monts coule…
Afin que ton renom s’étende par la… Autant qu’il monte au ciel engravé… Invoquant tous les Dieux, et répa… Je consacre à ton nom cette belle… Pasteurs, que vos troupeaux frisez…
Je n’ai pas toujours été comme ça À éviter le regard des gens Mon reflet est parti en éclats Seul pourra le réparer le temps Est-ce qu’un jour je sortirai de l…
À Étienne Charavay. Cette feuille soupire une étrange… Car la reine d’Écosse aux lèvres d… Qui récitait Ronsard et le Missel… A mis là pour jamais un peu de sa…
Sur l’Alpe étincelante et haute Le soleil tombe et se répand. Le chemin enlace à mi-côte La montagne comme un serpent. Ainsi que dans une revue
L’hiver a, cette nuit, une odeur d… J’ai pour rêver ouvert ma fenêtre.… Le vent qui semble fuir sur un voi… Les pins murmurent, l’air embaume,… Le silence est une urne où tombe c…
Sonnet. En ces heures souvent que le plais… Causant d’un livre à lire et des r… Ou me parlant déjà de mes prochain… Suspendue à mon cou, tu me dis :…
Bonjour, il fait des photographies… Dans des endroits différents et in… Tu vois .. il joue du piano debo… Ce n est pas la faute à vous . Ulysse as retrouvé Pénélope l an…
Retourne moi regard vers mou amour… Plus que tout au monde, je t’aime… Parce que je suis heureuxe avec to… Dans quelques jour seulement tu m’… Je t’aime.
Aime : la bouche aimée est savoure… Et ton amante nue est un rosier ve… Mais sache que le miel enivre de s… La cétoine, émeraude amoureuse des… La gloire te sourit en aïeule ridé…
C’est la rubrique de Sunday . C’est un article sur le journal L… Qui veut se rallier au panache bla… C’est la belle dame nue .. de gar… L amazone .. la guerrière du fleu…
L’infime infini de ton sourire, L’éternel battement d’ailes de tes… Sont autant de vestiges qui s’écho… Sur l’oreiller vide que tu as lais… Dans la chambre moite et blême.
Amour profond Je te connais depuis longtemps mon… Et plus je te connais, plus mon co… Je ne te regarde plus comme avant, Ce n’est plus tes formes que j’ape…
Bonjour, Suzon, ma fleur des bois… Es-tu toujours la plus jolie ? Je reviens, tel que tu me vois, D’un grand voyage en Italie. Du paradis j’ai fait le tour ;
Je reposais sous l’ombrage, Quand Nœris vint m’éveiller : Je crus voir sur son visage Le feu du désir briller. Sur son front Zéphyr agite
Nous avons vu ce mois d’Avril Engourdi par un froid subtil : Le printemps était en péril. Enfin, tout se métamorphose ! Mai, comme un jeune sein, arrose
Quel chagrin obscurcit tes yeux ? Qu’as-tu, ma chère Léonore, Toi qu’une souris si gracieuse Naguère embellissait encore ? Un amour tendre et malheureux
Le poète Alain est venu d ailleur… En levant la tête .. il as changé… Tu vois .. il as parcouru tant de… Battus .. il as dormis dans les ca… Dans les granges sur le foin coupé…
Bonjour .. le poète Alain vient… Je suis parti avec deux copains . Sur un camping gay . J ai connu des hommes contents . J ai branlé quelques queues .
Incorruptible azur, déesse lumineu… Puisque vous avez bien voulu me vi… Je remettrai mon coeur entre vos m… Pour que vous le guidiez, par les… Au chemin de l’exacte et claire vé…
C’est un article sur le journal S… C’est l histoire du scarabée d arg… Le type venait d enlever le paleto… Le gars était assis devant le feu… Où se promené l animal égyptien .