Tra la la la la lère ! Les arbres sont contents, Les flots dansent, la terre A tout au plus vingt ans. La nature palpite
Nourrissez votre cœur du feu des c… Filles du Fils de l’homme, aux ye… Aimez celle qu’un peuple appelle p… Avant Notre-Seigneur, savoir vivr… Quelque chose au dehors, mais au f…
La villa, qui de haut regarde la v… Par le rideau des bois est à demi… Autour d’elle, un massif de fleurs… Et des conques de marbre où murmur… En face, un vert gazon qui, d’une…
Par les nuits sublimes d’été, Sous leur dôme d’or et d’opale, Je demande à l’immensité Où sourit la forme idéale. Plein d’une angoisse de banni,
Depuis de longs jours, l’ouragan q… Va nous emportant sur l’Océan noi… Bien loin de la rive où je vins au… Pour des maux que nul n’eût osé pr… Le mât du vaisseau, que bat la tou…
Le décor est royal ; les arbres éc… Alignent la beauté des larges pers… L’eau, qu’un bassin de marbre enca… Étale avec orgueil ses grands cygn… Les princesses de France, en de b…
À Adolphe Willette. Pour plus d’agilité, pour le loyal… Les témoins ont jugé qu’Elles se… Les causes du combat resteront inc… Les deux ont dit : « Motif tout i…
À D.-U.-N. Maillart. Dans un cher souvenir de vos jeune… Ne regrettez-vous pas ces hautes c… Où l’âtre, réjoui par un grand feu… Réchauffait, en flambant, nos mais…
Un poète est parti ; sur sa tombe… Pas un chant, pas un mot dans cett… Dont la douceur divine ici-bas l’e… Seul, un pauvre arbre triste à la… Le saule qu’il rêvait, au vent du…
Première Voix. La neige tombe à gros flocons ; Par dessus nous, le ciel est noir… La terre, autour de nous, est noir… La lourde neige seule est blanche…
Sous l’épais sycomore, ô vierge, o… Dans le jardin fleuri, tiède et si… Pour goûter la saveur de tes lèvre… Un papillon d’azur vers toi descen… C’est l’heure où le soleil blanchi…
Fable V, Livre IV. Don pourceau, lâché dans la plaine… S’émancipait à travers choux, Flairant, fouillant dans tous les… Et, dans l’espoir de quelque aubai…
L’idole qui règne sur nous Voudrait y régner sans partage : Aussi nos travers sont jaloux, Chacun d’eux hait sa propre image. Désires-tu donc aujourd’hui
En ce temps-là, je me rappelle Que je ne pouvais concevoir Pourquoi, se pouvant faire belle, Ma mère était toujours en noir. Quand s’ouvrait le bahut plein d’o…
Sonnet. La robe de laine a des tons d’ivoi… Encadrant le buste, et puis, les g… Ornent le teint clair et les ligne… Le rire à qui tout sceptique doit…
Contrerime V. Dans le lit vaste et dévasté J’ouvre les yeux près d’elle ; Je l’effleure : un songe infidèle L’embrasse à mon côté.
Ivre d’un parfum d’un hibiscus en… Je dessinais les contours d’un rêv… L’imaginaire secret d’une de mes n… Un éclair gravé sur une feuille de… Sur la table des songes, mes pensé…
Assis au bord de la grand’route, Les septs innocents de Pleumeur Ne savent pas qu’on les écoute. Dans leurs prunelles convulsées Un restant de jour tremble et meur…
Ses tâches marron dispersé sur cet… Ces grincements atourdisan. Ces mains désespéré. Ses son firmes. Ses respiration accéléré.
Si vous venez sous mes ombrages, Ô voyageurs, vous reposer, Goûtez la fraîcheur des nuages Où glissent mes plus doux baisers… Écoulez les feuilles luisantes
J’ai le souvenir d’un prénom Dont je n’ai aucun souvenir J’essaie d’étancher Corps et âme L’abîme du savoir
Sonnet. La forge fait son bruit, pleine de… Le pilon monstrueux, la scie âpre… L’indolente cisaille atrocement mo… Les lèvres sans merci des fougueux…
Le masque honteux cachait ses dent… Un autre œil voyait qu’elles étaie… Où cela se passe-t-il ? Et quand ? Il est seul, il pleure, malgré l’o…
J’ai mal placé mon cœur, j’aime l’… Et c’est pour m’exploiter qu’il fa… Ce petit traître ! Je le sais. Sa mère, quand je viens, me devine… Sentant que je suis là pour lui pl…
Que seules les personnes ayant des… Un matin, une maman et sa fille so… Quand soudain la fillette vit au loin une bouche… et venir dans leurs direction,
FRAGMENT. 1604. . . . . . .… L’Orne comme autrefois nous rever… Ravis de ces pensers que le vulgai…
En mars, quand s’achève l’hiver, Que la campagne renaissante Ressemble à la convalescente Dont le premier sourire est cher ; Quand l’azur, tout frileux encore,
Ô les mots qu’on adresse à la femm… Les mots qu’on veut badins, spirit… Mots voilés et pensifs, échappés o… —Prélude où le désir se cache dans… Ô les regards soudainement pleins…
Idole et charme de ma vie, Tu sais endormir tous mes maux ; Tu sais me rendre le repos De mon enfance évanouie. Lorsque mon cœur est languissant,
Quelle était donc, ainsi, tout de… Cette femme, là-bas, d’un si lugub… En me croisant, m’ayant laissé voi… Le crâne dans du linge et la figur… Mais, verte ! de ce vert végétal,…