Aux charmes que sur toi nature a s… Quand le sort ajouta les trésors d… Sans doute par méprise il dotait l… Mais sa faveur volage il vient de… Et tu crois qu’il t’abaisse ? Ah…
Le Rhône est si profond, si rapid… Que dans la grande Europe il n’a… Emportant des bateaux sans nombre… Il va roulant de l’or et roulant d… Fleuve superbe ! il court, et se j…
Je t’appellerai... Tu me répondras, Pendant tes heures de travail, Puis tu sortiras, Et je serai là,
Autrefois on vouait un saint culte… Quand sur le sol tremblaient les a… Un seul restait debout au milieu d… L’autel des cheveux blancs. La vieillesse toujours, et dans R…
Hanté de souvenirs, l’âme pleine d… Je viens à ta beauté, seul, en pèl… Pays qui me fus bon. De gradin en gradin, de pensée en… J’ai gravi le sommet de l’arête dr…
Contrerime LXVII. Ô jour qui meurs à songer d’elle Un songe sans raison, Entre les plis du noir gazon Et la rouge asphodèle ;
Avant que mon adieu salue avec tri… Paris, ce beau Paris qui fut l’hu… Et que j’aille revoir les fortunés… Où Marseille au rivage aligne tan… Laisse-moi rafraîchir, ami, dans t…
Ô veille de Toussaint et dernier s… Le ciel est une ruche où bourdonne… Et le soleil pâlit sur le jardin d… De même, à l’occident large et pur… Dans un suprême adieu d’amour je d…
À Gustave Godard. Le soleil du matin tombe en bruine… À travers les rideaux de blanche m… C’est comme un fin brouillard de l… Éclairant l’oreiller d’une blonde…
Un jour entier peut-on bouder ! Cela passerait raillerie. Si j’ai cherché la brouillerie, C’était pour le plaisir de nous ra… Pour notre utilité commune,
J’étais couché dans l’ombre au seu… Un talus du chemin désert me sépar… J’écoutais s’écouler près de moi,… Une source qui sort d’une voûte d’… Par ce beau jour de juin brûlant e…
Tel que ces fines cassolettes Des bazars de Smyrne et d’Oran, Où court en minces bandelettes Une sourate du Coran : Du sachet vidé sur la flamme
Petit papillon doux Essaie de se nourrir Pauvre petit papillon Il n’a rien demander Juste un peu d’eaux
Sonnet. Par moments je souhaite une esclav… Sans ouïe et sans voix, pour toute… À son oreille close, aux rougeurs… Le feu de mon soupir dirait seul m…
Viens-t’en nous aimer ailleurs, N’importe où, mais loin des villes… Viens-t’en sous des deux meilleurs… Ici les âmes sont viles, Ici le vent est chargé
en plein silence une conversation silencieuse ses appels sans son au fond de moi cachés vient de l’inconnu
LUI Qui donc es-tu, toi qui ressembles… Et dont les yeux ont l’air de sole… Dans le val de Tristesse où mes p… Tes soupirs et les miens ne se son…
Vous me l’avez donné ce complément… Mon Dieu ! ma soif d’aimer est en… Du jour où cet enfant sous ma grot… Tout ce que je rêvais jadis, je l’… Pour la première fois, moi, dont l…
Beaux jours, vous n’avez qu’un tem… Et souvent qu’une heure ! Quand gémissent les autans, Il faut que tout meure.— Calme-toi, cœur agité ;
« C’est par mon métier, dit le vie… Qu’à forc’ de vous cercler les ore… Dans l’ song’ de votre esprit rent… Ces grands espac’ q’ont l’air de p… Vos chants bourdonn’ comm’ ceux de…
Satan, notre meg, a dit Aux rupins embrassés des rombières… “ Icicaille est le vrai paradis ” Dont les sources nous désaltèren… “ La vallace couleur du ciel
Sonnet. En un creux de terrain aussi profo… Les étangs s’étalaient dans leur s… Et servaient d’abreuvoir au bétail… Qui s’y baignait, le corps dans l’…
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Il n’est rien de si beau comme Ca… C’est une oeuvre où Nature a fait… Et notre âge est ingrat qui voit t…
Lorsque mai va finir, quand juin b… Il faut voir les troupeaux de la b… Redoutant la saison où sèchent les… Où la plaine déserte apparaîtra sa… Et jaune de soleil et d’herbes des…
Hélas ! hier encor sur mon front,… Sont venus se poser la joie & le p… J’ai ri comme une folle... aujourd… Car ma porte est fermée & j’en ai… Ô pauvre humanité ! J’ai pitié de…
Fantaisie haletante comme manqueme… Les mots et les idées qui entrent… Fuir vers ce que bon nous semble i… Charmé par cette personne, ce lieu… Champ magnétique imperceptible, in…
Cette virago, Ce militaire, Cet homme gros qui sent le suint d… Cet homme noir qui sent le curry, Cet enfant qui se tient sur le seu…
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
Un fils avait tué son père. Ce crime affreux n’arrive guère Chez les tigres, les ours ; mais l… Ce parricide eut l’art de cacher s… Nul ne le soupçonna : farouche et…
Sonnet. Les lignes du labour dans les cham… Fatiguent l’œil, qu’à peine un toi… Et la voûte du ciel tout entière a… Bornant d’un cercle nu la plaine m…