Ciel pur dont la douceur et l’écla… Monts blanchis, golfe calme aux co… Votre splendeur m’attriste, et sou… Votre divin sourire a fait monter… Du compagnon chéri que m’a pris le…
Décor d’encre. Sur le ciel terne Court un fil de fer : Mansarde où l’on aima, vanterne Sans carreaux, où l’on a souffert. Une enfant fait le pied de grue
Avec le masque du mensonge La parole suit son chemin, Rampe aujourd’hui, vole demain, Se raccourcit ou bien s’allonge. Elle empoigne comme une main
Afin de te soustraire au néant ram… Et te tirer de cette affreuse affa… Je répandrai le baume de mes baise… Sur les restes de ton cœur Recollerai soigneusement tes morce…
À Burgos, dans un coin de l’église… Un tableau me surprit par son effe… Un ange, pâle et fier, d’un ciel f… À sainte Casilda portant la palme… Pour l’œuvre des bourreaux la vier…
Je pense à toi, Myrtho, divine en… Au Pausilippe altier, de mille fe… À ton front inondé des clartés d’O… Aux raisins noirs mêlés avec l’or… C’est dans ta coupe aussi que j’av…
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
Kléarista s’en vient par les blés… Avec ses noirs sourcils arqués sur… Son front étroit coupé de fines ba… Et, sur son cou flexible et blanc… Ses tresses où, parmi les roses de…
Entre les plis de votre robe close On entrevoit le contour d’un sein… Des bras hardis, un beau corps pot… Suave, et dans la neige modelé, Mais dont, hélas ! un avare dispos…
La nuit avec ses mains d’insidieux… Jumelle du néant sardonique et bla… Hier, la nuit, qui tient le sarcas… Délaya dans mon cœur la morgue et… Alphabet primitif, simple mnémotec…
Chanson. On entend au loin la chanson des m… Ô ménétrier ! prends ton violon. Les gais rossignols égrènent des p… Quel beau soir ! Dansez, filles d…
Le gars imberbe .. c est Polyphém… C est un drôle de phénomène . C est le dernier suceur et un vole… C est le marquis des Champs Hauts… C est le grand noble .. qui vient…
Nuits où meurent l’azur, les bruit… Où les vives clartés s’éteignent u… Ô nuit, urne profonde où les cendr… Descendent mollement et dansent à… Jardin d’épais ombrage, abri des c…
La Beauté, fatal aimant, Est pareille au diamant Que la fange peut mouiller Sans le souiller. Jusqu’au milieu du ruisseau,
Que voulez-vous que je vous dise ? Cela vous coûterait bien peu, De délaisser enfin l’Église Et de vous rapprocher de Dieu. Vous écrasez les grandes choses
Le soleil parsème d’espoirs brisés L’écume qui reflète les désirs oub… Le moteur rugit et couvre ta voix Je suis si seul sur ce bateau où t… Je jette des vers
Confort et far-niente !– toute une… De calme et de bien-être, à donner… De s’en aller là-bas être Flamand… La pipe culottée et la cruche à fl… Le vidrecome large à tenir quatre…
Je ressens un vide, un vide immense, un vide qui était plein, un vide qui fait mal, un vide avec lequel il faut vivre. Mais ce vide est coloré, une belle couleur, une couleur qu’on ne p...
Frappe encor, Jupiter, accable-mo… L’ennemi terrassé que tu sais impu… Écraser n’est pas vaincre, et ta f… S’éteindra dans mon sang, Avant d’avoir dompté l’héroïque pe…
Tous les bas âges sont épars sous… Certes, l’alignement des vases et… Ce parterre au cordeau, ce cèdre r… Ce chêne que monsieur Despréaux e… Ces barreaux noirs croisés sur la…
Ah ! le navrant sourire où monte u… Et nos cœurs douloureux et lourds… Détourne ton visage et laisse-moi.… Le pauvre enfant blotti sur ton se… Dérobe-moi tes yeux : les suprêmes…
Contrerime XLIII. Ainsi, ce chemin de nuage, Vous ne le prendrez point, D’où j’ai vu me sourire au loin Votre brillant mirage ?
Une monde tellement fou, où rien n… Va gagner ton argent, le perdre pa… Roule sur l’autoroute, et sent le… Regarde toi vivre, quatre roues et… Tant user ton vélo, par goût des b…
x<… Le soleil fut avant les yeux, La terre fut avant les roses, Le chaos avant toutes choses. Ah ! que les éléments sont vieux
Les haches sonnent dur, le sol est… A la terre, les gels d’automne se… —Amante qui chassa l’amant par las… Et souffre, tant qu’un autre amour… Douleur inhérente aux changements…
Contrerime LXIV. Toi, pour qui les dieux du mystère Sont restés étrangers, J’ai vu ta mâne aux pieds légers, Descendre sous la terre,
La mer choque ses blocs de flots,… Et les granits du quai, la mer dém… Tonnante et gémissante, en la tour… De ses houles montantes. Les baraques et les hangars comme…
Mon rêve est embarqué sur une île… Les fils dorés des vents captent,… Son aventure au loin sur la mer éc… Mon rêve est embarqué, sur une île… Avec de grandes fleurs et de chant…
Une eau vive étincelle en la forêt… Dérobée aux ardeurs du jour ; Et le roseau s’y ploie, et fleuris… L’hyacinthe et la violette. Ni les chèvres paissant les cytise…
Le jour Ils se croisaient dans leur étable… Leurs durs regards obstinément fix… Et tous les deux, ils s’acharnaien… Elle, ses porcs, et lui, ses boeuf…