L’un dit que nier Dieu, c’est ne… Cet homme ne sait pas sanctifier l… Et, lâchement, il a du Mal suivi… Car c’est un sentier rude et serré… Du moins, humble pécheur, le timid…
Me pardonneras-tu un jour, J’ai perdu ton amitié bêtement. Je me suis rendu coupable. Sans ta permission. J’ai gravé ton ombre par-dessus la…
Dans la rue où personne ne passe Entre le numéro et le numéro Quelque temps qu’il fasse Tout ce jour-là et les suivants Je suis là j’attends
Le monde n’a jamais manqué de Cha… Cette science de tout temps Fut en Professeurs très fertile. Tantôt l’un en Théâtre affronte l… Et l’autre affiche par la Ville
Contrerime XV. En souvenir des grandes Indes, Harmonieux décor, La Rafette nourrit d’accord Un paon et quatre dindes.
Dans ce cabriolet de place j’exami… L’homme qui me conduit, qui n’est… Hideux, à barbe épaisse, à longs c… Vice et vin et sommeil chargent se… Comment l’homme peut-il ainsi tomb…
Le jour paraît, Zéphir s’éveille, Abandonne le sein des fleurs, Où, s’enivrant de leurs odeurs ; Il sommeillait depuis la veille. Sur son aile il porta cent fois
Le braconnier ayant lu sur sa viei… Que je lui demandais son histoire,… Et, dans son clair regard me darda… Ainsi parla, de voix bonhomique et… « C’que j’vas vous dir’ c’est pas…
Endymion s’endort sur le mont soli… Lui que Phœbé la nuit visite avec… Qu’elle adore en secret, un enfant… Il est timide et fier, il est disc… Un charme grave au choix d’une ama…
Contrerime XXV. Ô poète, à quoi bon chercher Des mots pour son délire ? Il n’y a qu’au bois de ta lyre Que tu l’as su toucher.
Sur les lagunes. Tra la, tra la, la, la, la laire ! Qui ne connaît pas ce motif ? A nos mamans il a su plaire, Tendre et gai, moqueur et plaintif…
C’est un grand vieux au dos voûté –Figure osseuse et gros nez croche… Qui cherche, d’un air embêté, Quelque chose au fond de ses poche… Son œil s’illumine ; il s’assoit.
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Voix, la colline est bleue et déjà… A sur le blanc chemin répandu ses… Les portes des maisons s’éclairent… —Éva, soit sans orgueil, sans prud… Le soleil tout le jour a brûlé ta…
J’étais couché dans l’ombre au seu… Un talus du chemin désert me sépar… J’écoutais s’écouler près de moi,… Une source qui sort d’une voûte d’… Par ce beau jour de juin brûlant e…
Sur les bords africains, aux lieux… Où le char du soleil roule en brûl… Deux énormes lions, de la soif tou… Arrivèrent au pied d’un rocher sol… Un filet d’eau coulait, faible et…
Contrerime X. “ Ce tapis que nous tissons comme ” Le ver dans son linceul “ Dont on ne voit que l’envers seu… ” C’est le destin de l’homme.
Distrait et grave comme un fou, Ayant mes rêves pour cortèges, Je vais un peu je ne sais où Par les pays où sont les neiges. Je vais, et je ne saurais pas
Joanne a six ans. Hier c’était un… Ce n’est plus qu’une enfant d’Ève.… Pourtant de son regard son regard… Car Dieu regarde face à face l’in… Elle est pauvre, elle est gaie, à…
Sonner XXIV. Pauvre peintre aveuglé, qu’est-ce… A ce petit portrait où tu perds to… Essayant d’égaler de ton blanc arg… Ou du vermeil, le lys et l’oeillet…
Chloé, jeune, jolie, et surtout fo… Tous les matins, en se levant, Se mettait au travail, j’entends à… Et là, souriant, minaudant, Elle disait à son cher confident
Chaque heure, où je songe à ta bon… Si simplement profonde, Je me confonds en prières vers toi… Je suis venu si tard Vers la douceur de ton regard,
Mes volages humeurs, plus stériles… S’en vont, et je leur dis : " Vou… S’éloigner la chaleur et le froid… Allez nicher ailleurs pour ne fâch… Ma couche de babil et ma table d’o…
Au temps des Empereurs, quand les… Impuissants à garder leur culte et… Pâlissaient, se taisaient sur l’au… Devant le Dieu nouveau dont on av… En ces jours de ruine et d’immense…
Le chemin devant moi N’est pas une ligne droite Il y a des courbes et des raccourc… Il est large et étroite Il y a des hauts et des bas
Notre maison est seule au creux de… Où le chant d’une source appelle d… Où le bout de jardin plein de légu… La roche qui nous tient dans son â… Septembre laisse choir sur les mol…
Je suis pédéraste dans l’âme, Je le dis tout haut et debout. Assis, je changerais de gamme, Et, couché sur un lit, Madame, Je ne le dirais plus du tout.
Nourrissez votre cœur du feu des c… Filles du Fils de l’homme, aux ye… Aimez celle qu’un peuple appelle p… Avant Notre-Seigneur, savoir vivr… Quelque chose au dehors, mais au f…
Fable XII, Livre III. Ces dés qui, chassés d’un cornet Pour être agités dans un autre, Par un canne ou par un sonnet Règlent ma fortune et la vôtre ;
Hier, la nue encore avait de sombr… La plaine était dans l’ombre et le… Et la forêt qui dort, mélancolique… Découpait sur le ciel son réseau d… Tout dormait : toits de chaume, éc…