En printemps, quand le blond vitri… Nettoie à neuf la vitre éclatante… Quand aux carrefours noirs qu’écla… En monceaux odorants croulent les… Et le lilas tremblant, frileux enc…
Sonnet XCII. Si mes vers innocents ont fait à l… Courroucer votre front d’une faute… C’est l’amour qui par eux votre lo… Amour a fait du mal, si du mal y a…
Simples ou parées, quelques qu’ell… Les lettres que nous envoyons aux… Les lettres de désir et d’amour et… C’est notre moi qui s’évade, Ce sont des êtres
Le cœur de l’homme Petit garçon frêle et sensible, Pour toi le bonheur parait impossi… Ici et là tu viens tu passes, Jamais l’on ne voit que ton cœur s…
Il pleut, nous pleurons,... Vive… Nous sommes le ciel, essayons de l… Nous sommes enfants, essayons de r… Le rire est toujours d’or... ou de… D’or ou de vermeil ! on se tient l…
Je rêve les rythmes, les phrases Qui montent dans un vol de feu, À travers le ciel des extases, Vers le beau, vers le vrai, vers… Mon oreille éperdue essaie
Fable XIII, Livre II. En Chine, un animal, singe de son… Crut, comme bien des gens, que, s’… Il changerait de personnage. Profitant donc de l’heure où le sa…
Que seules les personnes ayant des… Un matin, une maman et sa fille so… Quand soudain la fillette vit au loin une bouche… et venir dans leurs direction,
De grands brouillards couleur de s… Chassés par un vent sans pareil, Passent à plein vol : neige et plu… Tombent, brillantes de soleil. Sur les toits, globule à globule,
La négligence est un défaut Plus dangereux que bien des vices… D’abord sur moins que rien tu glis… Puis sur ceci, cela ; bientôt Sur tout, égards, devoirs, sagesse…
Claire fontaine où rossignole Un rossignol jamais lassé, N’es-tu pas le charmant symbole D’un cher passé ? Source de fraîche mélodie,
Le notaire dit : « Jean ! il s’ag… Votre frère, passé pour mort, Authentiquement vit encor. Vous êtes maintenant deux pour vot… —Ça s’rait-il Dieu possibl’? ah be…
Chacun a son défaut où toujours il… Honte ni peur n’y remédie. Sur ce propos, d’un conte il me so… Je ne dis rien que je n’appuie De quelque exemple. Un suppôt de…
D’où vient que l’âme humaine est a… Que jamais ses regards troublés et… N’ont pu s’accoutumer à la marche… Sur l’éternel chemin, chaque borne… Nous attriste. D’où vient ? Je ne…
L’un vainqueur ou l’autre battu, Ces beaux soldats qui vous ont fai… Gardaient jusque dans la défaite Le sourire de leur vertu. Vous, pour avoir rendu les armes,
Au zénith aveuglant brûle un globe… Le ciel entier frémit criblé de fl… Immobile et ridée à peine la mer d… La mer dort au soleil comme une be… Ça et là, dans le creux des rocher…
Nous sommes deux enfants et nous s… Nos cœurs sont enlacés ; nous enla… Toi, femme aux pleurs bénis, forte… Moi, sérieux, déjà penché sur les… Nous vivons ; nous chantons ; nous…
Sonnet. Une musique amoureuse Sous les doigts d’un guitariste S’est éveillée, un peu triste, Avec la brise peureuse ;
Deux vieux marins des mer & ; d… S’en revenaient, un soir d’automne… De la Sicile et de ses îles souve… Avec un peuple de Sirènes, A bord.
Nous sommes les vagues profondes Où les yeux plongent vainement ; Nous sommes les flots et les ondes Qui déroulent autour des mondes Leur manteau d’azur écumant !
Fable XI, Livre IV. LA BOUTEILLE. L’intérêt ne peut me guider ; Je n’ai rien à moi, ma cousine, Et volontiers si je m’incline,
Ses tâches marron dispersé sur cet… Ces grincements atourdisan. Ces mains désespéré. Ses son firmes. Ses respiration accéléré.
Comme je fus toujours un loyal ser… À mon maître j’ai dit : « L’homme… Qui laboure pour toi le flanc de l… Ne gagne pas l’argent promis à son… L’homme, affaibli par le travail e…
L’enchantement lunaire endormant l… Et le jour s’éloignant sur la mer… Comme une barque d’or nombreuse d’… J’ai rassemblé, d’un mot hâtif, me… Mes brebis et mes boucs devenus ta…
La lampe du poète agonisait dans l… Des rapides printemps il voyait fu… La faim, de son toit pauvre, écart… Sa cruche se vidait, et couché sur… « Il faut donc, disait-il, il faut…
Allez, mes vers, de branche en bra… Vers la dame des Trawiéro, Qu’on reconnaît à sa main blanche Comme la moelle du sureau. Elle est assise à sa croisée,
Morte ! oh ! serait-il vrai ? mort… À son calme avenir quel mal l’a do… Qui donc l’a pu frapper avant qu’e… Dans la fraîche candeur de ses pre… Quand elle n’était pas au tiers de…
Sonnet. Puisqu’il n’est point de mots qui… Ce soir, mon âme triste en vouloir… Qu’un archet pur s’élève et chante… Pour mon rêve jaloux de ne se défi…
Sonnet à madame L. Madame, vous avez jeunesse avec be… Un esprit délicat cher au cœur du… Un noble esprit viril, qui, portan… Au plus fort de l’orage a toujours…
À Alexandre Piédagnel. Le vent d’orage, allant où quelque… S’il rencontre un parterre, y voud… Autour du plus beau lis il s’enrou… Et gémit vainement sans pouvoir s’…