Fêtes galantes (1869)
#ÉcrivainsFrançais
(En lui envoyant « Sagesse ») Nul parmi vos flatteurs d’aujourd’… Mieux que moi la fierté d’admirer… Votre nom m’enivrait comme un nom… Votre œuvre, je l’aimais d’un amou…
Voix de l’Orgueil : un cri puissa… Des étoiles de sang sur des cuiras… On trébuche à travers des chaleurs… Mais en somme la voix s’en va, com… Voix de la Haine : cloche en mer,…
Allez, enfants de nos entrailles,… À tous qui souffririons de vous sa… Ou pas assez, allez, vaincus ou tr… Et revenez ou mourez... Tels sont… Nos accents, pourtant doux, si dou…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire
Contrition parfaite, Les anges sont en fêtes Mieux d’un pêcheur contrit que d’u… Bon propos, la victoire Préparée et la gloire
Voulant te fuir (fuir ses amours ! Mais un poète est bête), J’ai pris, l’un de ces derniers jo… La poudre d’escampette. Qui fut penaud, qui fut nigaud
Compagne savoureuse et bonne À qui j’ai confié le soin Définitif de ma personne, Toi mon dernier, mon seul témoin, Viens çà, chère, que je te baise,
Dansons la gigue ! J’aimais surtout ses jolis yeux, Plus clairs que l’étoile des cieux… J’aimais ses yeux malicieux. Dansons la gigue !
L’écartement des bras m’est cher,… Que l’écartement autre : Mer puissante et que belle et que… Quel appât est la vôtre ! Ô seins, mon grand orgueil, mon im…
La myrrhe, l’or et l’encens Sont des présents moins aimables Que de plus humbles présents Offerts aux Yeux adorables Qui souriront plutôt mieux
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes,
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vag… Tandis qu’un très léger bruit d’ai… Un air bien vieux, bien faible et… Rôde discret, épeuré quasiment,
Or, vous voici promus, petits amis… Depuis les temps de ma lettre prem… Promus, disais-je, aux fiers emplo… À votre thèse, en ces jours de lum… Vous voici rois de France ! À vot…
Tu fus une grande amoureuse À ta façon, la seule bonne Puisqu’elle est tienne et que pers… Plus que toi ne fut malheureuse, Après la crise de bonheur